« Le BAPE souligne plusieurs problèmes reliés au processus d’acceptation du projet et avec le projet en tant que tel. Nous rappelons que plusieurs demandent depuis avril 2016 une commission parlementaire sur le projet du REM, car l’investissement public est énorme. Le REM serait le plus grand PPP de l’histoire du Québec. Les contribuables ont le droit de savoir comment leur argent sera dépensé » a souligné Denis Bolduc, président du SCFP-Québec et porte-parole de « Trainsparence ».
Le REM est d’autant plus inquiétant puisque le gouvernement a modifié la Loi facilitant la divulgation d’actes répréhensibles dans les organismes publics, pour que la CDPQ soit exclue de la portée de cette législation sur les lanceurs d’alertes.
« Si quelqu’un à la CDPQ veut avertir les autorités de problèmes par rapport à ce projet, il ou elle ne le pourra pas. Ça n’a pas de sens », a rappelé Denis Bolduc.
« Trainsparence » est une importante coalition d’experts en transport en commun, de groupes environnementaux et de syndicalistes, plaide pour la tenue d’une commission parlementaire afin que l’ensemble du projet puisse être pleinement évalué.
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