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La section locale 1334 du SCFP négocie une première convention collective pour neuf travailleuses et travailleurs à temps partiel de la bibliothèque de l’Université de Guelph. À la table de négociation depuis juin 2011, les parties n’ont fait que peu de progrès. Ces travailleuses et travailleurs de bibliothèque, qui gagnent entre 10,50 $ et 12,50 $ de l’heure et sont mis à pied entre avril et août, vivent au seuil de la pauvreté.

L’Université malmène ces neuf travailleuses et travailleurs à temps partiel en réduisant leurs heures de travail, en leur versant des salaires de pauvreté et en exigeant des réductions à un régime de retraite déjà minimal. L’automne dernier, l’Université a réduit leur temps de travail, qui était entre 21 et 24 heures, à 18 heures par semaine.  Elles se retrouvent donc avec un nombre d’heures insuffisant pour toucher des prestations d’assurance-emploi.

L’Université exige aussi, pour le régime de retraite, des concessions qui ne s’appliquent pas aux travailleuses et travailleurs à temps plein.

Le syndicat demande 24 heures de travail, un salaire de subsistance et les mêmes conditions pour le régime de retraite que celles d’autres membres du SCFP. Le temps file car la date-butoir de grève ou lock-out a été fixée au 28 avril.

Veuillez faire parvenir une lettreà l’équipe de négociation de l’Université de Guelph et au président pour leur demander d’offrir une convention collective équitable à ces travailleuses et travailleurs vulnérables.

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