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Stephen Harper a très mal géré l’économie. La situation s’est détériorée sous sa gouverne, et la récession pointe à l’horizon, comme aux États-Unis.

Le désastre économique et financier en cours aux États-Unis provient des mêmes politiques que Harper impose au Canada: déréglementations, privatisations, baisses d’impôts pour les riches et les compagnies, coupures dans les services et les investissements publics. Stephen Harper s’oppose à tout rôle positif de l’État et du secteur public dans le renforcement de l’économie.

Ce que nous voulons :

  • Des politiques économiques qui mettent la priorité sur les travailleurs canadiens et non sur les grandes entreprises.
  • Un plan national de réduction de la pauvreté et une augmentation du salaire minimum fédéral.
  • Des progrès dans la réduction de l’écart salarial entre les hommes et les femmes.
  • Un rééquilibrage des politiques économiques : renforcer le secteur public et les industries forestières et manufacturières, et réduire la dépendance envers l’exploitation et l’exportation du pétrole, du gaz naturel et des matières premières.
  • Des investissements dans des programmes de formation pour aider les travailleurs licenciés à se trouver un emploi décent.

 

Le Canadien moyen est en difficulté

  • Le coût de la vie a augmenté de plus de 7 % au Canada depuis que Harper a pris le pouvoir.
  • L’inflation a augmenté plus rapidement que le salaire moyen. Donc, le pouvoir d’achat de la plupart des travailleurs n’a pas augmenté depuis que Harper est au pouvoir.
  • Pendant les deux premières années de pouvoir de Harper, les salaires des dirigeants de grandes entreprises ont augmenté de plus de 50 %.
  • Un Canadien sur 10 vit dans la pauvreté et le gouvernement fédéral ne propose aucune solution.
  • Harper n’a rien fait pour protéger les retraités et les investisseurs contre les fraudes financières.
  • Quand Harper est arrivé au pouvoir, la croissance économique était à 4,2 %. Cette année, elle sera de moins de 1 %, soit le taux le plus faible depuis la récession de 1991-1992.
  • La productivité du Canada—la mesure de l’efficacité de notre économie—a diminué sous le gouvernement Harper.
  • Tous les jours depuis l’entrée en poste de Harper, nous avons perdu en moyenne 200 emplois manufacturiers.