(Québec Congrès) Le Syndicat international des travailleurs unis du bois dAmérique (IWA) a reçu un avertissement implacable aujourdhui, au 21e congrès national du SCFP : le mouvement syndical ne tolérera plus ses tentatives répétées de maraudage chez les membres du Syndicat des employées et employés dhôpitaux.
Arborant un autocollant contre les attaques de lIWA, une membre du SEH sest méritée une ovation debout en décrivant la façon dont lIWA était « venue prendre nos emplois ». Un autre délégué a raconté comment les travailleuses et travailleurs de la santé avaient été « jetés à la rue ».
« Je savais que nous aurions à lutter contre le gouvernement. Je savais que nous aurions à lutter contre lemployeur. Mais jamais je naurais pensé que nous aurions à nous battre contre un autre syndicat », a-t-elle ajouté.
La présidente nationale sortante du SCFP, Judy Darcy, a demandé au Congrès du travail du Canada de « dire à lIWA de se désister au plus vite de ces ententes infâmes ». Le nouveau président national du SCFP, Paul Moist, a ajouté que les gestes posés par lIWA étaient « honteux ».
Les 2 000 membres qui participaient au congrès biennal du plus grand syndicat du Canada ont exprimé leur dégoût devant le comportement de lIWA en proposant une résolution claire, qui a été adoptée à lunanimité. Apprenant que lIWA sétait encore une fois livré à du maraudage auprès des membres du SEH, les congressistes indignés ont demandé à Ken Georgetti, président du CTC, dimposer des sanctions à lIWA et se sont demandé pourquoi il navait pas agi avant.
« À cause de ce qua fait lIWA, nos membres doivent supplier pour garder leur emploi, a dit le président du SEH, Fred Muzin. Ils sont sur la liste noire, ils sont humiliés et ils sont isolés. »
« Ce nest pas lIWA contre le SCFP, a affirmé le président du SCFP de la Colombie-Britannique, Barry ONeill. Cest lIWA contre le mouvement syndical. » Et il a ajouté que ce conflit interne empêchait les syndicats de faire leur vrai travail, qui est de défendre des travailleuses et les travailleurs.
En agissant de la sorte en Colombie-Britannique, lIWA sest attiré « les foudres de tous les travailleurs et travailleuses du pays, selon le président du Syndicat des employées et employés dhôpitaux, Michael Hurley. Nous nacceptons pas la collusion de lIWA avec le gouvernement et les employeurs. »
-30-
Source : Kaj Hasselriis, communications du SCFP, 613-798-6925. Pour un rapport audio et écrit complet du discours prononcé par Ken Georgetti et du débat sur lIWA, allez à www.scfp.ca.
Arborant un autocollant contre les attaques de lIWA, une membre du SEH sest méritée une ovation debout en décrivant la façon dont lIWA était « venue prendre nos emplois ». Un autre délégué a raconté comment les travailleuses et travailleurs de la santé avaient été « jetés à la rue ».
« Je savais que nous aurions à lutter contre le gouvernement. Je savais que nous aurions à lutter contre lemployeur. Mais jamais je naurais pensé que nous aurions à nous battre contre un autre syndicat », a-t-elle ajouté.
La présidente nationale sortante du SCFP, Judy Darcy, a demandé au Congrès du travail du Canada de « dire à lIWA de se désister au plus vite de ces ententes infâmes ». Le nouveau président national du SCFP, Paul Moist, a ajouté que les gestes posés par lIWA étaient « honteux ».
Les 2 000 membres qui participaient au congrès biennal du plus grand syndicat du Canada ont exprimé leur dégoût devant le comportement de lIWA en proposant une résolution claire, qui a été adoptée à lunanimité. Apprenant que lIWA sétait encore une fois livré à du maraudage auprès des membres du SEH, les congressistes indignés ont demandé à Ken Georgetti, président du CTC, dimposer des sanctions à lIWA et se sont demandé pourquoi il navait pas agi avant.
« À cause de ce qua fait lIWA, nos membres doivent supplier pour garder leur emploi, a dit le président du SEH, Fred Muzin. Ils sont sur la liste noire, ils sont humiliés et ils sont isolés. »
« Ce nest pas lIWA contre le SCFP, a affirmé le président du SCFP de la Colombie-Britannique, Barry ONeill. Cest lIWA contre le mouvement syndical. » Et il a ajouté que ce conflit interne empêchait les syndicats de faire leur vrai travail, qui est de défendre des travailleuses et les travailleurs.
En agissant de la sorte en Colombie-Britannique, lIWA sest attiré « les foudres de tous les travailleurs et travailleuses du pays, selon le président du Syndicat des employées et employés dhôpitaux, Michael Hurley. Nous nacceptons pas la collusion de lIWA avec le gouvernement et les employeurs. »
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Source : Kaj Hasselriis, communications du SCFP, 613-798-6925. Pour un rapport audio et écrit complet du discours prononcé par Ken Georgetti et du débat sur lIWA, allez à www.scfp.ca.