Une enquête menée par un quotidien a révélé que la géante de lalimentation Cara avait soutiré 2,3 millions de dollars au gouvernement provincial pour mettre fin à un contrat de dix ans. Larticle souligne les coûts et les conflits qui apparaissent au menu avec la sous-traitance des services alimentaires. Cara est un joueur important sur les campus et dans les cafétérias des établissements de soins de santé et elle est lune des sociétés derrière le projet de privatisation des services alimentaires de la régie régionale de la santé de Regina-QuAppelle.
En vertu du contrat de dix ans, lentreprise devait fournir des services alimentaires à lattraction touristique Ontario Place, à Toronto. À lépoque, les représentants de Cara avaient dit quils prenaient « tous les risques financiers » et quils « faisaient une faveur à la population ontarienne en sengageant et en absorbant le coût des investissements ». Mais lorsque le contrat sest avéré moins lucratif que prévu, Cara a voulu sen sortir et sest prévalu dune clause de rachat. Ontario Place sest tourné vers le gouvernement provincial pour le rachat secret.
Lhistoire compliquée a connu beaucoup de rebondissements, dont certaines allégations de conflit dintérêts. Le président du conseil dadministration dOntario Place est un partisan des conservateurs et dirige une société qui avait déjà fait affaire avec Cara. Un consultant extérieur qui a examiné les soumissions a dit quune autre société avait présenté une meilleure offre, mais son avis a été ignoré au profit de Cara, qui avait de meilleures « connexions ».
En vertu du contrat de dix ans, lentreprise devait fournir des services alimentaires à lattraction touristique Ontario Place, à Toronto. À lépoque, les représentants de Cara avaient dit quils prenaient « tous les risques financiers » et quils « faisaient une faveur à la population ontarienne en sengageant et en absorbant le coût des investissements ». Mais lorsque le contrat sest avéré moins lucratif que prévu, Cara a voulu sen sortir et sest prévalu dune clause de rachat. Ontario Place sest tourné vers le gouvernement provincial pour le rachat secret.
Lhistoire compliquée a connu beaucoup de rebondissements, dont certaines allégations de conflit dintérêts. Le président du conseil dadministration dOntario Place est un partisan des conservateurs et dirige une société qui avait déjà fait affaire avec Cara. Un consultant extérieur qui a examiné les soumissions a dit quune autre société avait présenté une meilleure offre, mais son avis a été ignoré au profit de Cara, qui avait de meilleures « connexions ».