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HALIFAX, N.-É.– Le président du SCFP-Nouvelle-Écosse, Danny Cavanagh, se dit déçu que la province ait décidé de supprimer le gel des droits de scolarité et d’instaurer un plafond de trois pour cent.

« Les membres du SCFP ne font pas que travailler dans les universités de la Nouvelle-Écosse, explique Danny Cavanagh. Ils y étudient aussi, à temps partiel ou à temps plein. Nos 18 000 membres paient des droits de scolarité pour que leurs fils et leurs filles puissent aller à l’université ou au collège. Ils sont aussi les parents de jeunes enfants et se demandent s’ils pourront leur assurer une éducation postsecondaire. »

« Comme tous les Néo-Écossais qui travaillent, les membres du SCFP paient des impôts provinciaux et fédéraux pour assurer un financement suffisant, en partie, à un système public d’éducation postsecondaire dans la province », souligne M. Cavanagh.

« Quant à la réduction de quatre pour cent dans le financement des universités, nous ne croyons certainement pas qu’elle devrait se faire aux dépens du personnel des premières lignes comme les aides à l’enseignement ou les professeurs à temps plein ou à temps partiel », affirme Barb Moore, présidente de la section locale 3912 du SCFP représentant les AE et les professeurs à temps partiel de Dal, SMU et MSVU.

« Pourquoi le président d’une université devrait-il être payé plus cher que le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, par exemple ? » se demande Mme Moore.

« En Ontario, pour économiser, le SCFP a proposé une fusion de tous les régimes de retraite des universités pour faire baisser les frais d’administration, explique Barb Moore. Pourquoi n’examinons-nous pas des idées semblables? »
  

Pour de plus amples détails, n’hésitez pas à communiquer avec :

Danny Cavanagh
Président, SCFP-Nouvelle-Écosse     
902-957-0822 (cell.)   

John McCracken
Conseiller aux communications du SCFP
 902-455-4180