Le syndicat représentant les salarié(e)s du groupe bureau, technique et professionnel de l’Université TÉLUQ (SCFP 2051) a finalisé la négociation d’une structure salariale équitable ainsi que la modernisation de l’article portant sur l’évaluation des emplois.

« Après des années de travail, nous sommes heureux pour les plus de 300 membres touchés par cette entente. Ça veut dire plus d’argent dans les poches des salarié(e)s. C’est la dernière université du réseau de l’Université du Québec (UQ) à implanter une telle structure », d’expliquer Mélodie-Anne Bolduc-Nadeau, présidente du SCFP 2051.

La nouvelle structure salariale est rétroactive au 1er mai 2017. La première année, elle représentera un peu moins de 1,5 % de la masse salariale, et au maximum, ce sera 3,77 %.

Le tout se traduit par le fait que les taux de salaire minimum et maximum sont relativement plus élevés que ceux des autres institutions de l’UQ, et ce, pour la majorité des classes salariales.

« Nos membres commencent à un échelon plus élevé et atteignent le maximum plus vite. On a aussi rajouté des articles de reconnaissance de l’expérience et de diplômes pour gagner des échelons à l’embauche et lors de promotions », d’ajouter François-Matthieu Drouin, conseiller syndical au Service de l’évaluation des emplois.