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Le syndicat qui représente les employées du soutien à domicile à l’Ordre de Victoria du Canada (OVC) dans le comté de Cumberland, en Nouvelle-Écosse, affirme espérer que l’employeur s’attaque aux problèmes du système de la paie.

« Nous collaborons avec l’employeur afin de résoudre ces vieux problèmes, déclare la conseillère nationale du SCFP Kim Cail. Il semble que la défaillance du système de la paie touche tout le personnel de l’OVC à travers le pays, syndiqués et cadres. »

« L’OVC a mis en place plusieurs redondances et échéances qui s’appliqueront dès que tout rentrera dans l’ordre, poursuit-elle, mais certaines de ces échéances n’ont pas été respectées. L’employeur a accepté de verser des “avances de salaire” aux employées qui en font la demande ».

Mme Cail rappelle que le SCFP a déposé des griefs à la fin d’avril 2011, en lien avec une série de problèmes touchant la paie.

« L’employeur, explique-t-elle, a aussi accepté de verser rétroactivement des paies en souffrance aux employées qui en feront la demande. Par contre, l’employée qui se trouverait avoir reçu de l’argent en trop devra rembourser l’excédent à l’OVC sur trois ou quatre cycles de paie. »

« La question des chèques de paie s’améliore, conclut-elle, mais on a assisté à tant de confusion depuis les premières ratées en janvier qu’on a un mal fou à s’y retrouver. »

La section locale 3953 du SCFP représente 100 employées de l’OVC qui fournissent du soutien à domicile à travers le comté de Cumberland.