Charles Fleury | Secrétaire-trésorier national

Comme tous les gouvernements, employeurs et organismes, le SCFP sera touché, à tous les échelons, par les répercussions financières de la pandémie de la COVID-19. Heureusement, à l’échelle nationale, la situation financière du SCFP est toujours solide. Elle nous permet de poursuivre notre important travail pour nos 700 000 membres à travers le pays.

Malgré les difficultés extrêmes auxquelles nous sommes tous confrontés, le SCFP est là pour soutenir ses organisations à charte et ses membres. Nous offrons toujours des services de soutien critiques comme : le service aux sections locales, le service juridique, les communications, la santé-sécurité, l’indemnisation des accidents du travail, l’évaluation des emplois, la recherche, les droits de la personne, la syndicalisation et l’éducation syndicale. Tous ces services sont fournis par notre personnel dévoué en télétravail. Notre personnel administratif, technique et de bureau continue son travail; on répond au téléphone, on ouvre le courrier.

Nous mettons également en œuvre des mesures administratives internes pour aider les organisations à charte. Nous prolongeons les délais pour les campagnes à frais partagés en cours et nous avons négocié des délais prolongés avec l’assurance-cautionnement pour reporter le dépôt des rapports des syndics.

En même temps, le SCFP travaille sur un budget révisé pour être parfaitement sur la bonne voie une fois la crise terminée. Pour maintenir notre flux de revenus, nous ferons comprendre aux employeurs que les retenues de cotisations doivent continuer comme d’habitude.

Pour que notre syndicat reste fort, nous avons plus que jamais besoin de notre solidarité financière locale. Par conséquent, au bénéfice de tous nos membres, le versement de la capitation demeure obligatoire. Je sais que nous pouvons compter sur vous, parce qu’au SCFP, nous nous soutenons toujours.

En terminant, je tiens à remercier chacun d’entre vous qui continue de jouer un rôle actif au sein de notre syndicat, ainsi que ceux et celles qui sont en première ligne de la crise pour s’occuper des malades, faire fonctionner nos réseaux de transport et assurer nos services publics, pour soutenir nos collectivités.

Solidarité !