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Les travailleurs des bureaux ontariens de la Société canadienne de l’ouïe sont sans contrat de travail depuis quatre ans.

Au lieu de tenter de conclure une entente qui permettrait de boucler les quatre dernières années et de se concentrer sur le présent et l’avenir, la Société canadienne de l’ouïe exige de récupérer une grosse partie des avantages sociaux de ses employés sans même offrir d’augmentations de salaire pour couvrir la hausse du coût de la vie.

Les travailleurs de la Société canadienne de l’ouïe prodiguent de précieux services aux personnes sourdes, sourdes oralisantes, devenues sourdes et malentendantes. Ils servent d’interprètes, fournissent des services d’aide à l’emploi et prodiguent des conseils en santé mentale. Bon nombre de ces travailleurs font eux-mêmes partie de la communauté sourde.

Ces travailleurs méritent qu’on les respecte, qu’on les traite équitablement et qu’on leur accorde un contrat de travail qui reconnaisse leur travail et qui couvre la hausse du coût de la vie dans les quatre dernières années.

Nous exhortons la directrice générale de la Société canadienne de l’ouïe, Julia Dumanian, à cesser de voir en ces travailleurs un ennemi et à collaborer avec eux à la recherche d’une entente équitable qui leur permettra de continuer à prodiguer des services vitaux à la communauté sourde.

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