Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

Les négociations entre la section locale 1393 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP 1393) et l’Université de Windsor ont atteint une étape cruciale. Les parties seront en position de déclencher une grève ou un lock-out le dimanche 8 septembre à minuit une.

« Nous avons un devoir envers les étudiants, nos voisins et les nombreux anciens élèves qui participeront aux célébrations du 50e anniversaire dans les prochaines semaines et les prochains mois, soutient Dean Roy, le président du SCFP 1393 : le devoir de négocier une convention collective qui sera équitable pour les deux parties et qui protégera la qualité de l’éducation postsecondaire. »

Le SCFP 1393 est un fier « commanditaire or » des célébrations du 50e anniversaire de l’Université de Windsor, qui coïncident avec le 50e anniversaire du SCFP.

« Nous sommes prêts à négocier aussi longtemps qu’il le faudra, ajoute-t-il, mais nous devons consacrer nos énergies à la tenue d’un événement réussi et au succès de l’année universitaire des étudiants qui ont investi dans cette communauté et dans leur avenir. »

La section locale 1393 du SCFP représente près de 300 gens de métier, professionnels et techniciens employés par l’Université de Windsor pour fournir une vaste gamme de services essentiels à la communauté universitaire. Ces services vont de la plomberie et de la menuiserie aux soins infirmiers, en passant par la psychothérapie, l’infographie et les relations publiques.

Le syndicat réclame de modestes améliorations salariales, ainsi que la reconduction des articles encadrant la sécurité d’emploi et l’évaluation du travail.

M. Roy soutien qu’il y a trop en jeu pour risquer de perturber les services : « Nos membres n’ont pas envie de déclencher la grève et ils ne veulent pas d’un lock-out. C’est pourquoi notre comité de négociation est prêt à remonter ses manches et à trimer dur pour conclure une entente équitable. Nous resterons à la table des négociations tant et aussi longtemps que nos vis-à-vis seront prêts à négocier. »

Le comité de négociation du SCFP 1393 rencontrera les négociateurs de l’université aujourd’hui et demain, avec l’aide d’un médiateur provincial.

« Il reste quelques points en litige, rappelle M. Roy, mais nous sommes prêts à poursuivre les négociations. Je crois qu’il nous reste assez de temps pour conclure une entente. »

  

Pour en savoir plus, contactez :

Dean Roy, président du SCFP 1393, 226-247-1063
Kevin Wilson, service des communications du SCFP, 416-821-6641