Le 11 juillet, Kelly Moist, présidente du SCFP-Manitoba, s’est jointe à plus de 300 autres personnes à Winnipeg pour exiger une enquête sur les femmes autochtones disparues et assassinées.
Seule représentante du mouvement syndical à prendre la parole, la consœur Moist a partagé la scène avec des leaders autochtones, des élus municipaux et fédéraux et d’autres leaders communautaires pour appuyer la tenue d’une enquête.
L’appel en faveur d’une enquête a pris de l’ampleur récemment après l’arrestation d’un homme de Winnipeg pour les meurtres de trois jeunes femmes autochtones.