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Depuis quelques mois, les gens sont de plus en plus sensibles à l’effet dévastateur de l’intimidation homophobe à l’école. Le même problème sévit au travail, un problème qui affecte aussi le moral des employés et les profits des entreprises.

Harcèlement mental et troubles psychologiques, intimidation et maladies psychologiques professionnelles comptent parmi les nombreux effets secondaires débilitants de la discrimination. Il faut aussi ajouter à cette liste la perte de productivité et le roulement de personnel.

Le 17 mai, le SCFP ajoute à la Journée internationale contre l’homophobie son message concernant l’homophobie au travail.

Le thème de cette année est : Au travail, la diversité sexuelle, ça rapporte!

Cette campagne a pour but de souligner les aspects positifs de la diversité sexuelle au travail et ses avantages pour les employeurs, les sociétés, les institutions et les travailleurs.

« La discrimination au travail coûte cher aux employeurs et à tous les travailleurs, soutient Cindy McQueen, présidente du groupe de travail Triangle rose du SCFP-C.-B. Le SCFP est donc fier d’appuyer, dans tous les milieux de travail, la dixième Journée annuelle contre l’homophobie et son message de tolérance. »

« Tous les membres du SCFP ont le droit à un milieu de travail accueillant et ouvert à la diversité sexuelle, pour que tous les travailleurs aient l’occasion de s’épanouir pleinement. »

Le groupe de travail Triangle rose se compose de Cindy McQueen, Kathy McMahon, Miriam Pulsifer, Brenda Voelk, Janet Bigelow, Crystal Broad, Michael Forrester, Kevin Robichaud, Michael Reed et Matt Quiring.


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