Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

Alphabétisation et syndicats – se donner des voix plus fortes

Le 8 septembre 2010, le SCFP a célébré la Journée internationale de l’alphabétisation. De plus, le Programme d’alphabétisation du SCFP célèbre 10 années de militantisme en matière d’alphabétisation. Depuis juillet 2000, le SCFP travaille avec les employeurs, les gouvernements et les formateurs au développement de programmes d’alphabétisation en milieu de travail.

« Les programmes d’alphabétisation et de développement des compétences essentielles aident les travailleurs à acquérir de nouvelles compétences dans un marché du travail en mutation et ils permettent aux travailleurs de mieux s’engager, tant à la maison qu’au sein de leur collectivité », a dit Paul Moist, président national du SCFP.

« Nous vivons dans un monde où les ordinateurs ont profondément modifié la façon dont les gens travaillent. Les restructurations et les privatisations menacent les emplois. Le besoin de formation et de perfectionnement n’a jamais été aussi présent », affirme Sylvia Sioufi, coordonnatrice du Programme d’alpha-bétisation du SCFP.

Le SCFP se porte à la défense des services publics ici et à l’étranger

Une délégation du SCFP est partie pour Carthagène en Colombie le 7 septembre, afin de participer à une importante Conférence interaméricaine sur les services publics organisée par l’Internationale des services publics. La conférence porte sur des enjeux internationaux, dont la qualité et le traitement de l’eau, l’énergie, l’éducation, la santé, les municipalités et l’environnement. Plusieurs autres sujets comme l’égalité des sexes et le racisme y sont aussi abordés.
 
Le secrétaire-trésorier national du SCFP, Claude Généreux, l’un des 5 membres de notre délégation explique : « Il est important pour un syndicat d’agir à l’international.  Nous avons beaucoup d’informations à partager, parce que nous sommes confrontés aux mêmes enjeux malgré les différentes réalités propres à chacun des pays. Notre engagement en matière de solidarité internationale est important pour nous.  Nous nous assurerons donc de respecter nos engagements auprès de la Confédération des travailleurs des secteurs public et privé de Haïti, notamment celui de les aider à rebâtir les bureaux du syndicat. »

Le SCFP réclame un code d’éthique commun pour les municipalités québécoises

En réaction au dépôt par Québec du projet de loi 109 (Loi sur l’éthique et la déontologie en matière municipale), le SCFP réclame des règles claires et un code d’éthique commun pour l’ensemble des municipalités.

Le SCFP se dit préoccupé par le fait que le projet de loi table sur l’autoréglementation et que sous prétexte de respecter l’autonomie des municipalités, le gouvernement a décidé de laisser les élus municipaux définir eux-mêmes les règles.  Le SCFP comprend le désir du gouverne-ment de responsabiliser les élus  municipaux, mais il ne partage pas son optimisme face aux vertus de l’autoréglementation.

Monique Côté, présidente du syndicat des cols blancs de la ville de Montréal est d’avis que ce projet de loi ne peut être la seule réponse aux récents scandales  liés à l’éthique. « On ne prescrit pas un médicament sans avoir d’abord posé un diagnostic, dit Mme. Côté. Si le gouvernement Charest veut véritablement restaurer la confiance des citoyens,  il doit déclencher une enquête publique pour faire toute la lumière. Une telle enquête démontrerait, à notre avis, la nécessité de revoir le mode de financement des partis, de réduire et d’encadrer le recours au privé, de renforcer la fonction publique et parapublique municipale, entre autres choses. »

Le SCFP réclame un retour à l’ordre constitutionnel et démocratique au Swaziland

À l’occasion de la Journée nationale du Swaziland, Paul Moist a joint sa voix à celles de la société civile et des organisations syndicales de monde entier afin de demander un retour à l’ordre constitutionnel et démocratique et la fin des violations des droits de la personne et des travailleurs. 

Le SCFP réclame :

• L’abrogation de l’état d’urgence au pays, qui dure depuis plus de 37 ans et le retrait de toutes les lois qui interdisent les assemblées politiques.
• Le retour rapide à une démocratie multipartite et à un processus de réforme constitutionnelle démocratique avec participation populaire par la convocation d’une Assemblée constitutionnelle nationale démocratiquement élue.
• La promotion et la réalisation d’une distribution plus équitable de la richesse nationale par l’instauration de politiques, de programmes et de dépenses publiques favorables aux démunis et au peuple.
• Le respect total des conventions de l’OIT, avec consultation et pleine participation des organisations syndicales.
• La mise en place de systèmes médiatique et judiciaire indépendants et libres, de même que la libération sans condition de tous les prisonniers politiques et le retour de tous les exilés politiques.

Les enseignants à temps partiel de l’Université Mount Saint Vincent concluent une entente de principe

Les enseignants à temps partiel de l’Université Mount Saint Vincent ont terminé la négociation de leur nouvelle convention collective avec l’université. Les détails de l’entente ne seront pas révélés tant que les membres ne l’auront pas ratifiée, mais nous savons que le Comité de négociation recommande  l’acceptation de cette entente. Il y a près de 200 enseignants à temps partiel sur le campus de l’Université Mount Saint Vincent en Nouvelle-Écosse.

D’autres sections locales SCFP signent des protocoles d’accord sur les programmes d’éducation de la petite enfance

Les sections locales SCFP 1022 (Conseil scolaire de district de Hastings et Prince Edward), 2331 (Conseil scolaire catholique du district de York) et 1238 (Conseil scolaire du district de Lambton-Kent) ont toutes signé des protocoles d’accord qui favoriseront la réussite du lancement du nouveau Programme d’apprentissage des jeunes enfants. 

Les protocoles d’accord ont pour effet d’incorporer les conditions récemment négociées à la Table de discussion provinciale, dans le cadre d’une entente intervenue entre la province, les conseils scolaires et les syndicats qui représentent la grande majorité des membres du personnel des conseils scolaires de l’Ontario. L’entente de la TDP fait maintenant partie de la convention collective entre les conseils scolaires  et le SCFP et elle sera en vigueur jusqu’en 2012.

 

rks/sepb 491