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L’un des rapports d’experts-conseils publié aujourd’hui sur le projet du centre des congrès de Halifax confirme que l’option du PPP sera la plus coûteuse pour les contribuables.

« Le rapport confirme ce que nous avons toujours soutenu à propos de ce projet, affirme Danny Cavanagh, président du SCFP-Nouvelle-Écosse. L’expert-conseil convient avec nous que la solution publique est plus économique. »

À la page 51 du Rapport Criterion, on peut lire ce qui suit :

  • PPP : Bien que les partenariats public-privé aient été appliqués avec succès à divers domaines du développement d’établissements publics, leur utilisation entraîne des défis pour les centres de congrès.

Le principal problème est le manque de tout mécanisme inhérent de paiement du partenaire privé autre que le paiement direct par le gouvernement lui-même (car, dans le marché des congrès d’aujourd’hui, on ne tient pas compte des frais d’utilisation directs).

Il y a aussi le fait qu’au Canada, les gouvernements peuvent emprunter à moindre coût que les entreprises privées et que les possibilités de transfert de risque sont minimes puisque peu d’entrepreneurs sont intéressés à exploiter de manière continue un centre de congrès.

« Le SCFP ne s’est jamais opposé à un nouveau centre des congrès, s’il est démontré que le projet peut être rentable, mais sa propriété et son exploitation doivent être publiques pour obtenir le meilleur résultat possible », conclut M. Cavanagh.

Pour lire le Rapport Criterion, consultez : http://www.tradecentrelimited.com/site-tcl/media/tradecentrelimited/Criterion%20%20Report.pdf

Pour de plus amples renseignements, communiquez avec :
Danny Cavanagh, Président, SCFP-Nouvelle-Écosse - 902-957-0822 (cell.)
John McCracken, Conseiller aux communications du SCFP - 902-455-4180 (b)