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Quatorze étudiants et travailleurs ont été accusés en lien avec une manifestation assise pacifique contre la hausse des frais de scolarité à l’Université de Toronto et ils ont besoin de notre aide.

Le « Groupe des quatorze » a été accusé d’infractions extrêmement graves, dont de séquestration. L’administration de l’université évalue aussi la possibilité d’expulser 12 étudiants.

Le « Groupe des quatorze » a été libéré mais doit se soumettre à une pléthore de conditions de remise en liberté. Il ne peut y avoir de contacts entre les membres du groupe à l’extérieur de la salle de cour ou des salles de classe. Plusieurs étudiants, membres du personnel et anciens étudiants se sont vu interdire l’accès au site de l’Université de Toronto. Dans certains cas, cette décision fait en sorte que les personnes concernées ne peuvent plus gagner leur vie.

Entre-temps, la communauté sur le campus – y compris de nombreux membres du SCFP – fait les frais d’une campagne d’intimidation livrée par l’administration de l’Université de Toronto et la police.

L’université elle-même exerce publiquement des pressions en faveur d’une déréglementation des frais de scolarité.

Ironiquement, en vertu des conditions de remise en liberté imposées, le Groupe des quatorze est interdit de manifester sur le campus. <?p>

Le Groupe des quatorze de l’Université de Toronto a demandé l’aide du SCFP pour lutter contre les procédures disciplinaires et les accusations au criminel.

Le groupe a mis en ligne une pétition pour demander au gouvernement de l’Ontario d’abandonner les accusations au criminel et à l’université d’abandonner les sanctions.