Le Sud-Africain Xolile Nxu a souligné l’ampleur qu’a prise la privatisation depuis la tenue des premières élections libres de son pays en 1994.
« Ils avaient dit que la privatisation favoriserait la participation communautaire et réduirait la pauvreté, mais ce n’est pas ce qui s’est passé », a rappelé le premier vice-président du Syndicat des travailleurs municipaux de l’Afrique du Sud.
De son côté, Josua Mata, de l’Alliance des syndicats progressistes des Philippines, a déclaré : « Ce que nous voulons, c’est que les gens ne vivent pas à l’aise aux dépens des travailleurs du tiers monde. Si nous voulons changer le monde, nous devons changer le système capitaliste qui n’existe que par l’exploitation de la classe ouvrière. »