La première séance de négociation en sept semaines na pas permis de régler la grève au refuge pour femmes Autumn House de Amherst en Nouvelle-Écosse.
Le conseiller syndical du SCFP, Terry Goulding dit : « Il ny a plus que deux points qui nous séparent dun règlement négocié. Le conseil dadministration insiste pour que les employées et employés acceptent une importante concession au régime dassurance contre linvalidité prolongée, concession qui signifierait une augmentation de coûts de lordre de 50 % pour les travailleuses et travailleurs. »
« Lemployeur demande aussi de passer à des quarts de travail de 12 heures, ce qui pourrait avoir des conséquences importantes sur la vie et la santé de ces personnes, » ajoute M. Goulding.
« La situation est très frustrante, parce que la position de lemployeur équivaut à donner dune main en accordant une modeste augmentation de salaire, mais à reprendre de lautre main en demandant des concessions au régime dassurance contre linvalidité prolongée. Le syndicat a proposé une solution de compromis, mais la partie patronale la rejetée. »
Pendant ce temps, des gens qui soutiennent les grévistes du refuge préparent pour le 18 octobre une veillée à la chandelle et une marche. Les gens qui se rendent sur le site scfp.ca peuvent aussi faire parvenir un courriel à la présidente du conseil dadministration du refuge Autumn House, Mary Dee MacPherson. Seulement au cours de la semaine dernière, elle a reçu dun peu partout dans le monde plus de cent courriels lui demandant de négocier un règlement au conflit. Peut-être y aura-t-il un règlement si elle reçoit 1 000 courriels cette semaine. Les travailleuses du refuge dAmherst sont en grève depuis le 11 août. Elles sont membres du SCFP 4326.
Le conseiller syndical du SCFP, Terry Goulding dit : « Il ny a plus que deux points qui nous séparent dun règlement négocié. Le conseil dadministration insiste pour que les employées et employés acceptent une importante concession au régime dassurance contre linvalidité prolongée, concession qui signifierait une augmentation de coûts de lordre de 50 % pour les travailleuses et travailleurs. »
« Lemployeur demande aussi de passer à des quarts de travail de 12 heures, ce qui pourrait avoir des conséquences importantes sur la vie et la santé de ces personnes, » ajoute M. Goulding.
« La situation est très frustrante, parce que la position de lemployeur équivaut à donner dune main en accordant une modeste augmentation de salaire, mais à reprendre de lautre main en demandant des concessions au régime dassurance contre linvalidité prolongée. Le syndicat a proposé une solution de compromis, mais la partie patronale la rejetée. »
Pendant ce temps, des gens qui soutiennent les grévistes du refuge préparent pour le 18 octobre une veillée à la chandelle et une marche. Les gens qui se rendent sur le site scfp.ca peuvent aussi faire parvenir un courriel à la présidente du conseil dadministration du refuge Autumn House, Mary Dee MacPherson. Seulement au cours de la semaine dernière, elle a reçu dun peu partout dans le monde plus de cent courriels lui demandant de négocier un règlement au conflit. Peut-être y aura-t-il un règlement si elle reçoit 1 000 courriels cette semaine. Les travailleuses du refuge dAmherst sont en grève depuis le 11 août. Elles sont membres du SCFP 4326.