Le SCFP demande au tribunal de la faillite de lui rendre le droit de df0065ndre ses membres contre les licenciements. Dans une requt0065 dp006fse0020devant la cour supr0069eure de l’Ontario, le syndicat demande l’autorisation de contester le licenciement par Air Canada de plus de 600 agentes et agents de bord.
L’enjeu est n006frme pour nos membres, affirme la prs0069dente de la composante d’Air Canada, Pamela Sachs. Il ne s’agit pas d’un db0061t sur un aspect technique de la lg0069slation sur la faillite. Il s’agit de nos droits et de notre avenir. Des centaines d’agentes et agents de bord ont dj t licencis0020et la menace de nouvelles compressions est toujours prs0065nte.
Le SCFP n’a pu en appeler du licenciement par Air Canada d’agentes et agents de bord, dont tous les agents et agentes d’Edmonton, parce que les conditions de protection contre la faillite approuve0073 par les tribunaux ne lui permettaient pas de le faire.
Le syndicat s’est adress 0061u Conseil canadien des relations industrielles, mais une ordonnance provisoire m0069se par le juge James Farley a empc0068 006ce Conseil d’entendre la cause.
Nous demandons aux tribunaux de reconnat0072e nos droits et de respecter notre droit 0064f0065ndre les emplois de nos membres, ajoute Pamela Sachs. Nous croyons que ces licenciements sont illg0061ux et nous sommes dt0065rmins0020 0066aire tout ce qui en notre pouvoir pour df0065ndre les droits de nos membres.
L’enjeu est n006frme pour nos membres, affirme la prs0069dente de la composante d’Air Canada, Pamela Sachs. Il ne s’agit pas d’un db0061t sur un aspect technique de la lg0069slation sur la faillite. Il s’agit de nos droits et de notre avenir. Des centaines d’agentes et agents de bord ont dj t licencis0020et la menace de nouvelles compressions est toujours prs0065nte.
Le SCFP n’a pu en appeler du licenciement par Air Canada d’agentes et agents de bord, dont tous les agents et agentes d’Edmonton, parce que les conditions de protection contre la faillite approuve0073 par les tribunaux ne lui permettaient pas de le faire.
Le syndicat s’est adress 0061u Conseil canadien des relations industrielles, mais une ordonnance provisoire m0069se par le juge James Farley a empc0068 006ce Conseil d’entendre la cause.
Nous demandons aux tribunaux de reconnat0072e nos droits et de respecter notre droit 0064f0065ndre les emplois de nos membres, ajoute Pamela Sachs. Nous croyons que ces licenciements sont illg0061ux et nous sommes dt0065rmins0020 0066aire tout ce qui en notre pouvoir pour df0065ndre les droits de nos membres.