PEMBROKE Le syndicat qui reprs0065nte vingt-trois personnes 006c’emploi de la Socit d’habitation de Renfrew est du de la dc0069sion de l’employeur de mettre un terme aux ng006fciations, la semaine dernir0065, et d’amorcer le dc006fmpte pour un arrt0020de travail.
Les discussions progressaient mieux qu’auparavant , de dire Bill Jamieson, prs0069dent de la section locale 4425 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP). Le syndicat croit toujours qu’une entente peut t0072e conclue si l’employeur veut revenir 006ca table de ng006fciation.
Le syndicat est inquiet du fait que le Comt 0074ente d’imposer un lock-out ou une grv0065 006ca population. Nous avons vu des preuves 006c’effet que l’employeur s’apprt0065 0065mbaucher des briseurs de grv0065 et des sous-contractants inconnus , de dire Susan Arab, la conseillr0065 syndicale du SCFP pour la section locale. Et cela ne prs0061ge rien de bon pour l’avenir des relations de travail dans cette collectivit 0065t cela pourrait mener 0075n conflit de travail long et cot006500750078.
Les ng006fciations entre le SCFP et la Socit d’habitation du Comt 0064e Renfrew ont achopp,0020la semaine dernir0065, aprs0020que l’employeur et002000710075itt 006ca table 006c’t0061pe de la conciliation. Ce dernier a aussi demand 0075n rapport de ne pas instituer de commission de conciliation de la part du conciliateur du ministr0065 du Travail. Cette dc0069sion amorce le processus visant 0070lacer les parties en position lg0061le de grv0065 ou de lock-out. Ds0020que le ministr0065 du Travail agit 006ca suite d’une demande d’un l’employeur et m0065t un rapport demandant de ne pas instituer de commission de conciliation , le dc006fmpte de 17 jours avant un lock-out ou une grv0065 commence.
Une fermeture nuirait aux collectivits0020dans tout le Comt 0064e Renfrew, y compris les villes et municipalits0020suivantes : Pembroke, Arnprior, Renfrew, Barry’s Bay, Palmers Rapids, Eganville, Cobden, Beachburg et Deep River.
La Socit d’habitation de Renfrew demande d’importantes concessions au syndicat en termes de prestations et de vacances. Cet employeur tente de prendre des milliers de dollars dans la poche de chaque personne 0073on emploi en coupant les avantages, en l0069minant le rg0069me d’invalidit 0064e longue dure0020(ILD) et en rd0075isant les vacances, de prc0069ser Mme Arab. Il ne semble pas non plus prt0020 0064iscuter de nos propositions concernant la sc0075rit 0064’emploi.
Les salaires ne sont pas en cause ici , de dire M. Jamieson, soulignant le fait que les deux parties ne sont pas trs0020loin sur le plan des salaires. Nous luttons pour la sc0075rit 0064’emploi de base et nous essayons de garder ce que nous avons. Les rs0069dentes et rs0069dents ainsi que les services que nous offrons nous tiennent 0063ur et la dernir0065 chose que nous voulons c’est de faire la grv0065.
Nos membres ont donn 0064e bons et loyaux services 006ca Socit d’habitation depuis des anne0073, d’ajouter M. Jamieson. Ils sont engags0020face 006ceurs emplois et aux services fournis. Un certain nombre de ces personnes sont 006c’emploi de la Socit depuis plus de vingt-cinq ans mais il semble que l’employeur soit prt0020 006eous mettre en lock-out et 006eous obliger 0066aire une grv0065 p0072ouvante qui aurait des rp0065rcussions dv0061statrices sur l’c006fnomie locale.»
Le syndicat est prt0020 0075ne rencontre pour tenter de rs006fudre ces diffr0065nds. Personne ne veut un arrt0020de travail si on peut l’v0069ter, de dire Mme Arab. Nous sommes prt0073 006ces rencontrer en tout temps pour tenter d’en arriver 0075ne entente.
-30-
Pour tout renseignement supplm0065ntaire, veuillez communiquer avec :
Susan Arab, Cons. syndicale du SCFP, (613) 237-0115, poste 233 - (416) 565-8391 (tl002e cell.)
Bill Jamieson, prs002e Section locale 4425, (613) 639-1004
Robert Lamoureux, Communications SCFP, (416) 292-3999
Les discussions progressaient mieux qu’auparavant , de dire Bill Jamieson, prs0069dent de la section locale 4425 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP). Le syndicat croit toujours qu’une entente peut t0072e conclue si l’employeur veut revenir 006ca table de ng006fciation.
Le syndicat est inquiet du fait que le Comt 0074ente d’imposer un lock-out ou une grv0065 006ca population. Nous avons vu des preuves 006c’effet que l’employeur s’apprt0065 0065mbaucher des briseurs de grv0065 et des sous-contractants inconnus , de dire Susan Arab, la conseillr0065 syndicale du SCFP pour la section locale. Et cela ne prs0061ge rien de bon pour l’avenir des relations de travail dans cette collectivit 0065t cela pourrait mener 0075n conflit de travail long et cot006500750078.
Les ng006fciations entre le SCFP et la Socit d’habitation du Comt 0064e Renfrew ont achopp,0020la semaine dernir0065, aprs0020que l’employeur et002000710075itt 006ca table 006c’t0061pe de la conciliation. Ce dernier a aussi demand 0075n rapport de ne pas instituer de commission de conciliation de la part du conciliateur du ministr0065 du Travail. Cette dc0069sion amorce le processus visant 0070lacer les parties en position lg0061le de grv0065 ou de lock-out. Ds0020que le ministr0065 du Travail agit 006ca suite d’une demande d’un l’employeur et m0065t un rapport demandant de ne pas instituer de commission de conciliation , le dc006fmpte de 17 jours avant un lock-out ou une grv0065 commence.
Une fermeture nuirait aux collectivits0020dans tout le Comt 0064e Renfrew, y compris les villes et municipalits0020suivantes : Pembroke, Arnprior, Renfrew, Barry’s Bay, Palmers Rapids, Eganville, Cobden, Beachburg et Deep River.
La Socit d’habitation de Renfrew demande d’importantes concessions au syndicat en termes de prestations et de vacances. Cet employeur tente de prendre des milliers de dollars dans la poche de chaque personne 0073on emploi en coupant les avantages, en l0069minant le rg0069me d’invalidit 0064e longue dure0020(ILD) et en rd0075isant les vacances, de prc0069ser Mme Arab. Il ne semble pas non plus prt0020 0064iscuter de nos propositions concernant la sc0075rit 0064’emploi.
Les salaires ne sont pas en cause ici , de dire M. Jamieson, soulignant le fait que les deux parties ne sont pas trs0020loin sur le plan des salaires. Nous luttons pour la sc0075rit 0064’emploi de base et nous essayons de garder ce que nous avons. Les rs0069dentes et rs0069dents ainsi que les services que nous offrons nous tiennent 0063ur et la dernir0065 chose que nous voulons c’est de faire la grv0065.
Nos membres ont donn 0064e bons et loyaux services 006ca Socit d’habitation depuis des anne0073, d’ajouter M. Jamieson. Ils sont engags0020face 006ceurs emplois et aux services fournis. Un certain nombre de ces personnes sont 006c’emploi de la Socit depuis plus de vingt-cinq ans mais il semble que l’employeur soit prt0020 006eous mettre en lock-out et 006eous obliger 0066aire une grv0065 p0072ouvante qui aurait des rp0065rcussions dv0061statrices sur l’c006fnomie locale.»
Le syndicat est prt0020 0075ne rencontre pour tenter de rs006fudre ces diffr0065nds. Personne ne veut un arrt0020de travail si on peut l’v0069ter, de dire Mme Arab. Nous sommes prt0073 006ces rencontrer en tout temps pour tenter d’en arriver 0075ne entente.
-30-
Pour tout renseignement supplm0065ntaire, veuillez communiquer avec :
Susan Arab, Cons. syndicale du SCFP, (613) 237-0115, poste 233 - (416) 565-8391 (tl002e cell.)
Bill Jamieson, prs002e Section locale 4425, (613) 639-1004
Robert Lamoureux, Communications SCFP, (416) 292-3999