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OTTAWA— Jusqu’ 0074out rc0065mment, l’d0069fication de relations spc0069ales t0061it un lment important des soins offerts dans trois foyers de groupe et deux centres d’aide 006c’enfance de Perth. Aujourd’hui, la qualit 0064e ces soins est menace0020parce que les dirigeants de ces t0061blissements de services sociaux sont si dt0065rmins0020 0070unir les employe0073 d’avoir form 0075n syndicat qu’ils ne se rendent pas compte du tort qu’ils causent, selon la conseillr0065 syndicale du SCFP Bev Smale.

L’employeur, Tayside Community Residential and Support Options, a interrompu les ng006fciations le 24 janvier et a mis en lock-out les soixante travailleuses qui voulaient obtenir leur premir0065 convention collective en tant que section locale 4474 du SCFP. trois exceptions prs002c les employe0073 sont toutes des femmes.

Le lock-out touche Davidson House, Brady House, Deakin House et les centres d’aide 006c’enfance Taycare. Les travailleuses des services sociaux offrent des services 24 heures sur 24 aux bnficiaires qui souffrent de divers handicaps mentaux et physiques. Les travailleuses des centres d’aide 006c’enfance, dont certaines ne gagnent que 7 $ l’heure, s’occupent de plus de 120 enfants gs de 18 mois 00312 ans.

Des travailleuses de remplacement ont dj t engage0073 dans les foyers de groupe et l’employeur a l’intention d’importer des travailleuses d’aussi loin que Kingston pour remplacer celles des centres d’aide 006c’enfance lundi. Les travailleuses de la section locale 4474 tiendront une assemble0020d’information le mm0065 jour 00319 h, 006c’g006cise St. James 0050erth.

Ces travailleuses en lock-out sont des professionnelles plus que dv006fue0073. Elles ont vraiment 0063œur les besoins spc0069aux de leurs bnficiaires, a dit Smale. Nous voulions tout simplement obtenir une entente ng006fcie002c mais nous n’en avons pas eu la chance. L’employeur veut nous punir parce que, aprs0020avoir tent 0065n vain pendant des anne0073 de faire entendre notre voix, nous n’avons eu d’autre choix que de former un syndicat.

Nous avons dj redonn 0075n pour cent de notre paie depuis cinq ans, mais cela n’a pas suffi, a dit Debbie MacParland, conseillr0065 0044avidson House. Maintenant, il semble que notre employeur veuille obtenir les soins au plus bas cot00200070006fssible. Nous avons dj perdu plus de 20 bonnes travailleuses 0063ause de la tension et de la frustration qui rg006eent entre les employe0073 et l’employeur. Aucune collectivit 006ee peut t0072e fir0065 de ces rs0075ltats.

L’appui de la collectivit 0061ux travailleuses en lock-out grandit. Un nombre croissant d’entreprises, d’c006fles et d’g006cises locales ont offert de la nourriture, du caf 0065t l’utilisation de leurs locaux.

Si les dirigeants de Tayside sont vraiment intr0065sss0020 conomiser, pourquoi gaspiller de l’argent pour un consultant 0031 500 $ par jour, pour l’embauchage et l’hb0065rgement de briseurs de grv0065 et pour toutes sortes de mesures de sc0075rit 0069nutiles? demande Martine Dal, prs0069dente de la section locale 4474. Le gouvernement de l’Ontario ne leur a-t-il pas accord 0070rs0020de 60 000 $ pour payer les salaires des travailleuses des foyers de groupe? Ne se pro0063cupent-ils pas du bien-t0072e des enfants? Ne se pro0063cupent-ils pas des besoins spc0069aux des bnficiaires sous notre garde? Et pourquoi interdisent-ils aux membres de leur conseil d’aborder ce dossier avec qui que ce soit?

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Renseignements:
Bev Smale, conseillr0065 syndicale du SCFP, (613) 267-4261, pic0065 4
Joan Harvey, conseillr0065, Davidson House, (613) 267-7485
Shawna Ferguson, centre d’aide 006c’enfanceTaycare, (613) 264-9283