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Le mercredi 27 juin 2001 (Fredericton) - Le Conseil des Syndicats des Foyers de soins du Nouveau-Brunswick (CSFSNB), reprs0065ntant 2,500 membres du Syndicat canadien de la Fonction publique (SCFP) 006cc0068elle provinciale, a t contraint de quitter la table des ng006fciations parce que lEmployeur refuse de rg006cer les points importants.

«Nous devons faire quelque chose pour faire avancer notre cause. Il y a un manque chronique sr0069eux de personnel dans les foyers de soins de cette province. La valeur re006cle des salaires a diminu 0065t la charge de travail ne cesse daugmenter sans que lon puisse y faire quelque chose, selon le coordonnateur des foyers de soins du SCFP, Gordon Black. Les exploitants des foyers de soins ne semblent pas croire que la qualit 0064es soins est une question importante. Nos membres le savent.

Le 30 juillet prochain, il y aura une rencontre importante des 35 prs0069dents du CSFSNB. La date du vote de grv0065 a t fixe0020au 8 aot00200032003001.

«Nous savons que les rs0069dents et leurs familles nous respectent, souligne le prs0069dent du CSFSNB Michel Boudreau. «Ils savent que nous travaillons trs0020fort pour prendre soin des personnes quils aiment. Malheureusement, les exploitants des foyers de soins refusent de reconnat0072e que laugmentation de la charge de travail et le manque de personnel dtriorent la sant 0064es travailleuses et des travailleurs des foyers de soins et des personnes dont nous prenons soin. Procurer le minimum de soins se fait maintenant au prix de grands efforts.»

Les travailleuses et les travailleurs des foyers de soins du Nouveau-Brunswick sont sans contrat de travail depuis le 16 octobre 2000.

«Nous sommes prt0073 0072eprendre les pourparlers si les employeurs et la province ont une offre raisonnable 0066aire. Cependant, en ce moment, on a limpression de perdre notre temps,» ajoute Michel Boudreau. «Nous avons choisi de travailler dans des foyers de soins parce que nous aimons le travail que nous faisons. Cest beaucoup plus quun travail pour nous. Mais nous ressentons une profonde frustration quand nous navons pas le temps de donner les soins, lattention et le contact humain que les rs0069dents des foyers de soins mr0069tent.»

Le CSFSNB ng006fcie avec les employeurs privs0020qui exploitent les foyers de soins. Cependant, le financement et la responsabilit 0064assurer la qualit 0064es soins relv0065nt de la province.

«La grande charge de travail cause des blessures et des maladies, pourtant lemployeur punit nos membres qui sont malades. Les besoins de nos rs0069dents augmentent, pourtant nous travaillons toujours avec un nombre insuffisant de personnel. Assez cest assez. Monsieur le Premier ministre Lord, vous proclamez que les soins de sant 0073ont importants pour vous, cest maintenant le temps dagir, de conclure Gordon Black.

Le CSFSNB reprs0065nte les personnes qui nourrissent, donnent le bain, apportent le confort et les soins aux rs0069dents des foyers de soins. Ils changent aussi les lits, font le mn0061ge, prp0061rent la nourriture, sassurent de la propret 0064e la literie, et font en sorte que chaque personne a des vt0065ments propres. En plus, ils sont les travailleuses et les travailleurs de la maintenance, des activits002c du travail de bureau et de la sc0075rit.0020 Ils luttent pour que le foyer demeure dans les foyers de soins.

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Pour tout renseignement supplm0065ntaire, veuillez communiquer avec :
Michel Boudreau, prs0069dent, CSFSNB (506), 381-7490 (tl002e cell.)
Gordon Black, coordonnateur des foyers de soins du SCFP (506) 461-4829 (tl002e cell.)
Laurie Kingston, Communications SCFP (613) 266-1415 (tl002e cell.)