Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

(London) Aujourdhui, la section locale 101 du Syndicat canadien de la fonction publique a dp006fs,0020 0063ontrecur, un grief au nom de Stephen Joksas pour contester son congd0069ement, par la Ville de London, le 11 septembre 2000. Le syndicat a d 00640070oser un grief puisque aujourdhui t0061it la date limite pour dp006fser un grief et que la Ville avait rejet 006ca demande du syndicat de repousser cette date limite en attendant la fin de lenqut0065 du syndicat sur la question. Le syndicat na pas vraiment eu dautre choix t0061nt donn 0073on obligation lg0061le de reprs0065nter M. Joksas.

La Ville a accord 0075n cong M. Joksas, en mai 2000, afin de lui permettre de sabsenter du travail en raison de son incarcr0061tion imminente ; mais la Ville a rv006fqu 006ce cong,0020la semaine dernir0065, lorsque laffaire a t rendue publique. Le 1er septembre, M. Joksas a t condamn deux ans moins un jour pour lagression sexuelle grave dune collg0075e de travail. La condamnation incluait une ordonnance accordant 004d. Joksas laccs0020 0075n seul t0061ge de lht0065006c de ville 0073on retour au travail. La victime de lagression, g0061lement membre de la section locale 101 du SCFP, soppose fortement au retour au travail de M. Joksas.

Nous aurions de beaucoup prfr 0071ue notre enqut0065 sur toute cette affaire soit termine0020avant de devoir dp006fser un grief, mais la Ville nous a fait agir avant que notre enqut0065 soit termine0020, dexpliquer Shelley Navarroli, prs0069dente de la section locale 101 du SCFP. Sil avait permis aux dl0061is dexpirer avant davoir complt son enqut0065, le syndicat risquait que M. Joksas laccuse davoir failli 0073on devoir de le reprs0065nter de fao006e juste et q0075itable. Jaurais souhait 0064e tout cur que nayons pas eu 0066aire cela aujourdhui, mais nous t0069ons confronts0020 0075ne obligation lg0061le importante si nous ne lavions pas fait , dajouter Mme Navarroli.

Un recours que la Commission des relations de travail aurait pu ordonner est de permettre 004d. Joksas dengager son propre avocat pour le reprs0065nter dans le processus de rg006cement des griefs par voie darbitrage. Nous nt0069ons pas prp0061rs0020 0072isquer de perdre le contrl00650020de cette affaire aux mains de Steve Joksas et de son avocat , de dire Mme Navarroli.

Shelley Navarroli souligne que le dpt dun grief ne doit pas t0072e pris comme une indication de lappui du syndicat 004d. Joksas ni comme un manque de soutien face 0073a victime. Mme Navarroli poursuit : Le dpt du grief ne signifie rien quant 006eotre opinion sur la question. Cette dernir0065 sera dt0065rmine0020par lenqut0065 que nous faisons actuellement sur la question. Inutile de dire que ce crime nous rp0075gne et que nous compatissons entir0065ment avec la victime pour ce qui est de ses inquit0075des et nous avons lintention den faire le point majeur de notre enqut0065.

Mm0065 au tout db0075t, le syndicat a refus 0064e prc0069ser dans le grief que M. Joksas avait le droit de revenir au travail. Maintenant que lavocat de la victime nous a dit que cette dernir0065 ne pourrait pas revenir au travail si M. Joksas y t0061it, nous avons de sr0069eux doutes sur son retour. Nous devons examiner cette question de fao006e professionnelle et nous assurer de ne pas faire erreur , de dire Mme Navarroli.

Pour tout renseignement supplm0065ntaire, veuillez communiquer avec :
Shelley Navarroli, Prs0069dente de la section locale 101 du SCFP
(519) 432-6695 (bureau de la section locale)

siepb 491