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ST. CATHARINES – Les employés de première ligne de l’Université Brock représentés par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) pressent l’administration universitaire d’investir dans ses moniteurs d’anglais langue seconde (ALS). Les parties reprennent les négociations le samedi 14 mars, dans l’espoir d’éviter un arrêt de travail qui pourrait survenir à compter du mardi 17 mars à minuit une.

« Le département d’ALS est très important à l’Université Brock, explique Dan Crow, président du SCFP 4207. Il offre des programmes populaires qui attirent des étudiants de partout dans le monde. Nos membres qui y travaillent sont des professionnels dévoués et hautement qualifiés. Ils ont aidé à bâtir ces cours, en plus de les donner. Les étudiants étrangers qu’ils attirent paient des frais de scolarité élevés pour profiter des compétences et de l’expérience des membres du SCFP 4207. »

« L’administration semble reconnaître l’importance des programmes d’ALS, poursuit-il; elle tient aux revenus que génère le département. Nous savons même qu’elle envisage d’investir dans ses programmes. Or, en parallèle, elle refuse de reconnaître l’apport des moniteurs d’ALS. En effet, elle refuse de leur accorder une convention collective équitable qui apporterait une solution à leurs préoccupations. »

« D’autres employés de l’Université de Toronto et de l’Université York ont été contraints de débrayer pour défendre leurs conditions de travail, rappelle M. Crow. Nous espérons que Brock reviendra à la table des négociations avec l’intention de prendre nos priorités au sérieux et d’éviter un arrêt de travail. »

Pour en savoir plus, contactez :

Dan Crow

Président du SCFP 4207

 905-931-8007

Mike Stokes

Conseiller national du SCFP 

 905-641-3051

James Chai

Service des communications du SCFP

 905-739-3999