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Suite 0075n jugement historique rendu par une cour qubcoise, 10 000 travailleuses et travailleurs de garderies pourraient trs0020bientt00200061dhr0065r 0075n syndicat, ce qui voudrait dire qu’ils toucheraient presque immd0069atement le double de leur salaire.

La semaine dernir0065, la cour a jug 0071ue les travailleuses et travailleurs qui, dans le cadre du programme gouvernemental de subvention des places en garderies, exploitent une garderie 006ceur domicile, ne sont pas des travailleuses et des travailleurs indp0065ndants. En consq0075ence, elles ont droit aux mm0065s conditions de travail que les autres travailleuses et travailleurs de garderie.

En plus d’un salaire acceptable, la dc0069sion devrait permettre 0063es travailleuses et travailleurs d’obtenir des avantages comme les congs0020de maladie, les vacances, les congs0020fr0069s002c l’assurance-emploi et un rg0069me de retraite.

L’employeur et le gouvernement ont dix jours pour dc0069der s’ils en appelleront du jugement.

Ce nouveau jugement confirme que les travailleuses et travailleurs de garderies 006ca maison sont en fait des salarie0073 et salaris002e Une cause similaire devrait bientt0020tre tranche0020en Ontario.

En 1996, un agent d’v0061luation de l’q0075it 0073alariale avait jug 0071ue trois femmes t0061ient en fait des employe0073 de la municipalit 0065t qu’ 0063e titre, elles avaient droit aux indemnisations prv0075es par la loi sur l’q0075it 0073alariale. L’automne dernier, une cour de secteur renversait le jugement et affirmait que les trois femmes t0061ient des contractuelles indp0065ndantes et non des employe0073. Les trois en ont appel 0064u jugement et la cour devrait faire savoir sous peu si elle accepte d’entendre la cause.