Le président national Mark Hancock et le secrétaire-trésorier national Charles Fleury ont tous deux été réélus mercredi. Dans leur discours d’acceptation, ils se sont engagés à continuer à renforcer notre syndicat et à travailler avec les membres pour rendre le Canada plus juste et plus équitable.

Mark Hancock, président national

Mark Hancock est le sixième président national du SCFP. Il a été élu à ce poste en novembre 2015, après six mandats à l’exécutif du SCFP-Colombie-Britannique, deux comme président et quatre comme secrétaire-trésorier.

Mark Hancock est devenu membre du SCFP en 1984. Pendant 15 ans, il a été président de la section locale 498 qui représente les employés municipaux de Port Coquitlam. Depuis son élection à la présidence nationale, ses priorités sont influencées par ses expériences en tant que président de section locale et de militant syndical. Pour lui, il est très important d’offrir aux sections locales en négociation le soutien dont elles ont besoin afin d’obtenir des gains pour leurs membres et de riposter aux attaques des employeurs.

Sur la scène nationale, Mark Hancock s’est fait le défenseur d’une économie plus juste et plus inclusive, en plus de militer pour les droits des travailleurs à statut précaire dont le nombre est en croissance au Canada.

Charles Fleury, secrétaire-trésorier national

Charles Fleury est secrétaire-trésorier national du Syndicat canadien de la fonction publique depuis 2011.

Charles est devenu membre actif du SCFP il y a 35 ans, lorsqu’il a commencé à travailler pour Hydro-Québec. Dès le premier jour, il a été un leader dynamique, d’abord localement, ensuite à l’échelle provinciale puis nationale. Charles est un militant de longue date en faveur de l’équité pour tous les travailleurs et travailleuses. Il lutte constamment pour améliorer les conditions de travail et garde toujours en tête l’épanouissement de nos communautés et la protection de notre environnement et de notre planète.

Face aux compressions des gouvernements fédéral et provinciaux et aux pertes d’emplois dans le secteur public, Charles s’assure que les contributions des membres du SCFP sont bien investies pour défendre leurs intérêts : résister face aux compressions, combattre la privatisation et lutter pour la justice sociale ici et autour du globe.