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Le Syndicat canadien de la fonction publique se joint à quinze autres organisations canadiennes pour condamner les récentes manœuvres entreprises par les partis d’opposition de la droite brésilienne, manœuvres qui ont mené à la destitution de la présidente Dilma Rousseff. Ce coup d’État parlementaire ciblait une chef d’État portée au pouvoir démocratiquement, il y a à peine 18 mois, par 54 millions de voix exprimées dans le cadre d’élections libres, ouvertes et démocratiques.

Les politiciens qui vont reprendre les rênes du gouvernement représentent l’élite corporatiste qui souhaite démanteler les programmes sociaux mis en place par le Parti des travailleurs de la présidente Rousseff pour les remplacer par des politiques néolibérales. Or, une majorité de Brésiliens avait rejeté ces politiques aux urnes.

On peut lire le texte intégral de la lettre et la liste de ses signataires sur le site Internet de Common Frontiers Canada.