Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.
  • En 2001, 47 pour cent des femmes autochtones de 15 ans et plus occupaient un emploi, comparativement à 56 pour cent des femmes non autochtones. Les femmes       autochtones étaient aussi moins susceptibles que leurs homologues masculins d’occuper un emploi – 47 pour cent contre 53 pour cent. Cinquante-sept pour cent des femmes autochtones employées travaillent à temps partiel ou seulement une partie de l’année.
  • Les femmes travaillant à temps plein et toute l’année gagnent 70,5 pour cent de ce que gagnent les hommes. Les femmes de couleur gagnent 64 pour cent de ce que gagnent les hommes et, pour les femmes autochtones, ce pourcentage d’établit à seulement 46 pour cent. (3)
  • Les femmes autochtones gagnent 24,5 pour cent de moins que les femmes non autochtones et  18 pour cent de moins que les femmes de couleur. (3)
  • Le revenu annuel des personnes des Premières nations est inférieur à celui des autres Canadiens : 42 pour cent, plus de la moitié de la moyenne nationale, ont de faibles revenus. (3)
  • Les femmes autochtones qui travaillent sont plus concentrées dans les emplois mal payés : 60 pour cent travaillent dans les ventes ou les services, ou dans le commerce, les finances ou l’administration. Le revenu médian des femmes autochtones est de 12 300 $ – 5 000 $ de moins que les femmes non autochtones. Ce revenu est aussi inférieur de 3 000 $ à celui des hommes autochtones. Le revenu d’emploi moyen des femmes des Premières nations dans les collectivités des Premières nations est d’à peu près 1 500 $ de moins que celui des hommes des Premières nations et d’environ 8 400 $ de moins que la moyenne canadienne pour les femmes. Vingt-sept pour cent du revenu des femmes autochtones vient des prestations d’assurance-chômage et d’aide sociale. En 2000, 36 pour cent des femmes autochtones étaient classées comme vivant dans un ménage où les revenus étaient inférieurs au seuil de faible revenu, ce qui est le double du taux pour les femmes non autochtones.

sepb 491