Paul Moist, président national du SCFP, a écrit au premier ministre Stephen Harper pour exiger que le gouvernement fédéral agisse dans le dossier du centre de soins d’urgence False Creek à Vancouver et d’autres cliniques à but lucratif qui permettent le resquillage. Les patients qui doivent recevoir des soins urgents pour des fractures, des lacérations et d’autres urgences médicales ne devraient pas avoir à montrer leur portefeuille à l’entrée. Les cliniques privées cherchent des échappatoires dans la loi, pendant que le gouvernement Harper nous dit de « respirer par le nez » et d’accepter que la privatisation est partout. Nous prenons au sérieux la question de l’égalité d’accès et nous exigeons que notre gouvernement fédéral en fasse autant.