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Ce que nous voulons

  • Une augmentation de 4,2 milliards de dollars du financement actuel lié à la réduction des frais de scolarité.
  • La fin du financement accordé aux établissements privés à but lucratif.
  • La fin des partenariats public-privé. L’infrastructure de l’enseignement postsecondaire doit être financée et exploitée publiquement. Il faut aussi créer un transfert en matière d’éducation postsecondaire qui améliore l’imputabilité du financement fédéral.
  • Un système national de subventions en fonction des besoins.

Les libéraux n’ont rien fait

  • Les frais de scolarité ont grimpé en flèche; en effet, les étudiants du premier cycle paient en moyenne 4 214 $ de frais de scolarité en 2005-2006, près du triple de la moyenne de 1 464 $ en 1990-1991. Le plan des libéraux ne permettra pas de contrôler la croissance des frais de scolarité.
  • L’endettement des étudiants, après un cours de premier cycle, est d’environ 28 000 $.
  • Le coût de l’entretien différé grimpe aussi. En Ontario seulement, on estime à plus de 1,5 milliard de dollars le coût de l’entretien différé pour les universités.
  • Le travail temporaire et occasionnel augmente dans les universités.

Les conservateurs seraient pires

  • Ils appuient des prêts en fonction du revenu, un modèle de financement régressif qui désavantage les femmes et les diplômés à faible revenu.
  • Les mesures fiscales des conservateurs ne répondent absolument pas aux besoins des étudiants et des universités.

Ce que disent les néo-démocrates

  • Nous avons besoin d’un plan national qui réduira les frais de scolarité de 10 pour cent afin de rendre l’éducation plus accessible.
  • Il faut protéger l’éducation contre la privatisation grâce à une loi sur l’éducation postsecondaire au Canada et à l’augmentation des transferts fédéraux en matière d’éducation.
  • Nous devons déduire tous les intérêts du Programme canadien d’aide aux étudiants des impôts des diplômés.
  • Il faut remplacer la Fondation des bourses d’études du millénaire par des subventions en fonction des besoins.
  • Il faut augmenter le financement public afin de protéger la recherche indépendante contre les pressions exercées par les entreprises, surtout dans les domaines de la médecine et de l’environnement.