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Commentaires formuls0020au 41e congrs0020annuel des membres du SCFP- N.-B., 0046redericton

(Fredericton) Paul Moist, prs0069dent national du Syndicat canadien de la fonction publique, a incit 0074ous les paliers de gouvernement 0072ecourir 0064es mt0068odes publiques pour promouvoir des collectivits0020saines et 0072ejeter la privatisation et les prt0065ndus partenariats public-priv 0028P3).

Aucun gouvernement ne peut cacher le pit0072e dossier des privatisations et des P3, que ce soit ici au Nouveau-Brunswick ou ailleurs au Canada , a dc006car 004d. Moist, qui prenait la parole aujourdhui au 41e congrs0020annuel de la division du Nouveau-Brunswick du SCFP, 0046redericton.

Presque sans exception, les P3 ont men une diminution de la qualit,0020 0075ne augmentation des cot007300200065t 0075ne rd0075ction de laccs0020aux services, a renchr0069 Paul Moist. La privatisation menace le tissu mm0065 de nos collectivits002e Il nest donc pas t006fnnant que la population rejette en si grand nombre la participation du secteur priv 0061u financement et 006ca prestation de nos programmes et services publics.

M. Moist faisait t0061t dun sondage publi 006ca semaine dernir0065 par Ipsos-Reid. Celui-ci rvlait quune immense majorit 84 pour cent des Canadiennes et des Canadiens veulent que leurs services publics soient fournis par des travailleuses et des travailleurs du secteur public, qui rendent compte aux l0075es et l0075s et 006ca population, plutt00200071ue par des socits prive0073 qui nont de comptes 0072endre qu 006ceurs actionnaires.

Les gouvernements, quels quils soient, ont le choix, a insist 0050aul Moist. Ils peuvent gonfler les profits des entreprises en demandant 006ceurs amis du rg0069me de fournir des services, ou ils peuvent ri006evestir dans la revitalisation de nos collectivits0020en prenant des mesures directes et publiques. Personne au pays ne veut ni ne mr0069te dautres fiascos de P3.

Les remarques de Paul Moist sont particulir0065ment pertinentes au Nouveau-Brunswick, qui a servi de laboratoire 0064iffr0065nts projets P3 pour les c006fles, les autoroutes ou les services des eaux, et qui est menace0020par une privatisation sournoise de son systm0065 de sant.000d

M. Moist a fait remarquer que le ministre fdral responsable de linfrastructure est le dp0075t 0064u Nouveau-Brunswick, Andy Scott, ce qui donne aux gens du Nouveau-Brunswick une occasion unique dinfluencer la discussion sur les P3 en faveur dun investissement public direct, dun contrl00650020public et de lobligation de rendre compte.

Le sondage Ipsos-Reid a montr 0071ue les Canadiennes et les Canadiens se mf0069ent beaucoup des P3. Lorsquon leur a demand 0073i le Canada devait ou non rebt0069r son infrastructure hp00690074aux, c006fles, autoroutes et systm0065s des eaux grc0065 0064es investissements publics directs ou en ayant recours aux P3, 75 pour cent ont opt 0070our la solution publique.

La population du Nouveau-Brunswick ne sait que trop bien que les P3 mn0065nt 0075ne perte de contrl00650020et 0075n affaiblissement de la qualit,0020a ajout 0050aul Moist. Mais est-ce que ses leaders politiques c006futent ?

Le SCFP invite les gouvernements mettre des obligations pour financer linfrastructure publique, car cette mt0068ode cot006500200062eaucoup moins cher quun financement par le secteur priv,0020et permet au secteur public et aux collectivits0020 de garder le contrl00650020de services publics vitaux.

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On peut consulter les conclusions du sondage Ipsos-Reid 003ca href=http://www.ipsos-reid.com>www.ipsos-reid.com en suivant les liens >> Canada >> publicly released polls >> Canada >> April 8, 2004, Canadians› Views On Public-Private Partnerships

(La page frana0069se est en construction)

Pour information :
Danielle Savoie, communications du SCFP, cell. (506) 381-1966