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Le fiasco de Worcestershire, en Grande-Bretagne, montre encore une fois que les partenariats public-priv 0070rofitent davantage aux privatiseurs quaux patients.

Un hp00690074al P3, dj aux prises avec un df0069cit, a d 007600650072ser des centaines de milliers de dollars dargent public 0073on proprit0061ire priv 0070arce quil traitait trop de patients .

Lhp00690074al Worcestershire Royal a pay 006camende parce que son taux doccupation a grimp 98 pour cent. La socit qui possd0065 et exploite lhp00690074al avait prv0075 une clause, garde0020secrt0065 jusque l,0020limitant le taux doccupation 00390 pour cent. Mais 0063ause dun nombre record durgences et parce quun autre hp00690074al voisin avait d 006600650072mer ses salles dopr0061tion pour financer le projet P3 en dp0061ssement de budget dautres patients avaient t admis. Lhp00690074al a d 007000610079er des frais supplm0065ntaires 006centreprise, dt006furnant ainsi de largent qui auraient d 007300650072vir 0073oigner des patients, dans un hp00690074al dj aux prises avec un df0069cit de 15 millions de livres.

Le conseil dadministration de lhp00690074al a tent 0064expliquer les paiements supplm0065ntaires en disant quils couvraient laugmentation des cot007300200064entretien entrane par un taux doccupation l0065v.0020Mais ces frais sont vraiment destins0020 0070rotg0065r les intr0065ssantes marges de profits des proprit0061ires de lhp00690074al et ils ne seraient pas nc0065ssaires si la proprit et lexploitation de lhp00690074al t0061ient publiques.

Pire encore, le ministr0065 britannique de la Sant 0061voue que tous les contrats d’IFP contiennent des clauses secrt0065s garantissant des paiements supplm0065ntaires aux entrepreneurs de P3 si les lits sont occups002e

Certains contrats cachent aussi dautres clauses, comme une limite au nombre de patients traits0020et au nombre de repas pris. Les hp00690074aux P3 doivent payer des frais supplm0065ntaires lorsque ces limites sont dp0061sse0073.

Depuis le db0075t, lexpr0069ence britannique montre que les hp00690074aux P3 sont une mauvaise affaire. Les rs0069dentes et rs0069dents de lOntario ont raison dt0072e inquiets, car ils nont pas accs0020 0074oute linformation sur les hp00690074aux P3 projets0020 004fttawa, 0042rampton et dans dautres collectivits002e De mm0065, linformation sur lhp00690074al dAbbotsford et dautres hp00690074aux P3 a t restreint, dans les meilleurs des cas.

Puisque les hp00690074aux P3 sinspirent de lexpr0069ence britannique et que beaucoup des multinationales qui possd0065nt et exploitent des hp00690074aux au Royaume-Uni sont en train de sinstaller au Canada, le risque que des clauses similaires se retrouvent dans les contrats dhp00690074aux P3 canadiens, et donc que les profits des entreprises passent avant les intrts des patients, est tout 0066ait re006c.

Pour en savoir plus, lisez les articles suivants tirs0020du Observer:

Les articles sont disponibles en anglais seulement