Rouyn-Noranda Ce sont des employés municipaux soulagés qui ont repris le travail ce matin à Malartic. En effet, après 19 mois de lock-out, une entente de principe avec la municipalité a été conclue vendredi dernier. Cette entente a ensuite été rapidement acceptée par une forte majorité des cols blancs (SCFP 4224). Cela met un terme au plus long conflit de travail de lhistoire du Syndicat canadien de la fonction publique.
Grâce à ce règlement, tous les syndiqués qui possédaient la sécurité demploi maintiennent ce droit. Il sagissait dailleurs de lobjet principal du litige. Le nouveau contrat de travail est dune durée de deux ans et prendra fin le 13 novembre 2005. Les employés cols blancs obtiennent les mêmes augmentations de salaire que celles accordées aux cols bleus (SCFP 335) pour cette période.
Le conseiller syndical Georges Landry souligne la détermination des cols blancs dans cette lutte, «Les syndiqués ont fait preuve de courage. Il est difficile dêtre mis sauvagement à la rue pendant plus dun an et demi. Mais, grâce à lappui du secteur municipal du SCFP, tout le monde a tenu bon. Nous savions que nous étions dans notre droit, que nos demandes étaient très raisonnables et quil ny avait aucune raison denlever la sécurité demploi aux syndiqués qui lavaient déjà. À la fin, cest le bon sens qui la emporté. La lutte a été longue, mais elle en valait la peine».
Grâce à ce règlement, tous les syndiqués qui possédaient la sécurité demploi maintiennent ce droit. Il sagissait dailleurs de lobjet principal du litige. Le nouveau contrat de travail est dune durée de deux ans et prendra fin le 13 novembre 2005. Les employés cols blancs obtiennent les mêmes augmentations de salaire que celles accordées aux cols bleus (SCFP 335) pour cette période.
Le conseiller syndical Georges Landry souligne la détermination des cols blancs dans cette lutte, «Les syndiqués ont fait preuve de courage. Il est difficile dêtre mis sauvagement à la rue pendant plus dun an et demi. Mais, grâce à lappui du secteur municipal du SCFP, tout le monde a tenu bon. Nous savions que nous étions dans notre droit, que nos demandes étaient très raisonnables et quil ny avait aucune raison denlever la sécurité demploi aux syndiqués qui lavaient déjà. À la fin, cest le bon sens qui la emporté. La lutte a été longue, mais elle en valait la peine».