Les travailleuses et travailleurs des conseils scolaires de l’Alberta, qui sont pays0020 0075n taux horaire et qui travaillent moins de 10 mois par anne002c ont remport 006ceur lutte pour obtenir des prestations d’assurance-chm00610067e pendant les mois d’t.
Les fonctionnaires de la Commission de l’AE ont en effet mis fin 006ceur tentative pour priver de prestations plus de 1 000 travailleuses et travailleurs des conseils scolaires de la rg0069on d’Edmonton, membres des sections locales 3550 et 3484 du SCFP. Contrairement aux enseignantes et enseignants, qui sont pays002012 mois par anne002c ces travailleuses et travailleurs sont licencis0020 006ca fin de chaque anne0020scolaire. Mais en 2002, lorsqu’ils ont demand 0064es prestations d’AC, elles leur ont t refuse0073.
Le SCFP a dp006fs 0064eux appels : le premier auprs0020du conseil d’arbitrage de Dv0065loppement des ressources humaines Canada (DRHC) et l’autre, auprs0020de la Cour canadienne de l’impt002e0020DRHC a demand la cour de dc0069der si les membres t0061ient admissibles 006c’assurance-emploi. L’un des facteurs cls0020 0063onsidr0065r t0061it de savoir si, en vertu de la convention collective, les membres t0061ient des employe0073 et employs0020 pendant 12 mois .
En 2001, Sandra Ryan, une aide-enseignante, avait reu0020des prestations d’AC aprs0020que le conseil d’arbitrage eut renvers 006ca dc0069sion de DRHC. La commission de l’AE en a alors appel 0064e cette dc0069sion devant la Cour de l’impt002e0020
Ed Hanson, conseiller syndical du SCFP, a df0065ndu la cause de Sandra Ryan en cour au printemps 2002. En novembre 2002, sentant peut-t0072e que la cour trancherait en faveur de Sandra Ryan, la Commission a avis 006ce SCFP que Mme Ryan recevrait ses prestations. Peu aprs002c plus de 1 000 autres travailleuses et travailleurs des conseils scolaires recevaient leurs prestations.
Les fonctionnaires de la Commission de l’AE ont en effet mis fin 006ceur tentative pour priver de prestations plus de 1 000 travailleuses et travailleurs des conseils scolaires de la rg0069on d’Edmonton, membres des sections locales 3550 et 3484 du SCFP. Contrairement aux enseignantes et enseignants, qui sont pays002012 mois par anne002c ces travailleuses et travailleurs sont licencis0020 006ca fin de chaque anne0020scolaire. Mais en 2002, lorsqu’ils ont demand 0064es prestations d’AC, elles leur ont t refuse0073.
Le SCFP a dp006fs 0064eux appels : le premier auprs0020du conseil d’arbitrage de Dv0065loppement des ressources humaines Canada (DRHC) et l’autre, auprs0020de la Cour canadienne de l’impt002e0020DRHC a demand la cour de dc0069der si les membres t0061ient admissibles 006c’assurance-emploi. L’un des facteurs cls0020 0063onsidr0065r t0061it de savoir si, en vertu de la convention collective, les membres t0061ient des employe0073 et employs0020 pendant 12 mois .
En 2001, Sandra Ryan, une aide-enseignante, avait reu0020des prestations d’AC aprs0020que le conseil d’arbitrage eut renvers 006ca dc0069sion de DRHC. La commission de l’AE en a alors appel 0064e cette dc0069sion devant la Cour de l’impt002e0020
Ed Hanson, conseiller syndical du SCFP, a df0065ndu la cause de Sandra Ryan en cour au printemps 2002. En novembre 2002, sentant peut-t0072e que la cour trancherait en faveur de Sandra Ryan, la Commission a avis 006ce SCFP que Mme Ryan recevrait ses prestations. Peu aprs002c plus de 1 000 autres travailleuses et travailleurs des conseils scolaires recevaient leurs prestations.