Cet aprs002dmidi, la province de l’Ontario a adopt 0075ne loi de retour au travail qui mettra fin 006ca grv0065 de 16 jours de la section locale 416 du SCFP et 0063elle de 8 jours de la section locale 79 du SCFP. La grv0065 lg0061le dc006cenche0020par 22 000 travailleuses et travailleurs municipaux de Toronto a t sans prcdent dans l’histoire canadienne. Les enjeux cls0020de ces grv0065s t0061ient la sc0075rit 0064’emploi et la lutte contre la sous-traitance et la privatisation.
Le NPD de l’Ontario a travaill 0066ort pour ng006fcier l’intg0072ation d’un processus q0075itable de md0069ation-arbitrage dans ce projet de loi. la onzim0065 heure le jeudi 11 juillet, une entente prv006fyant un systm0065 juste a t conclue. Presque tout ce que la province et la ville avaient d’abord propos 0064ans le cadre du processus a t rejet 0061fin d’acclrer l’adoption du projet de loi et beaucoup des points les plus importants pour le syndicat y ont t inclus.
Nous nous sommes opposs0020 0063ette loi, a dit le prs0069dent de la section locale 416 du SCFP, Brian Cochrane. Une loi de retour au travail constitue une attaque contre notre droit 006ca libre ng006fciation collective, une attaque contre les principes les plus fondamentaux du syndicalisme, et nous nous y opposerons toujours.
La ville a tout fait pour briser notre syndicat et faire entrer les services privs0020dans la ville de Toronto, a dit la prs0069dente de la section locale 79 du SCFP, Ann Dembinski. Malgr 006ce retrait d’importants services et l’amoncellement d’ordures dans les rues de Toronto, la ville a systm0061tiquement refus 0064e ng006fcier une entente avec les deux sections locales, dont les membres df0065ndent leurs emplois et les services publics.
Les travailleuses et travailleurs de Toronto doivent commencer 0072entrer au travail demain. Le processus de sl0065ction d’un arbitre qui satisfera les deux parties commencera presque immd0069atement.