Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

TORONTO - Plus de 15 000 cols blancs de la Ville de Toronto se joignent 006ceurs 6 800 collg0065s de travail sur les lignes de piquetage dans la grv0065 municipale la plus importante de toute l’histoire du Canada. La grv0065 de la section locale 79 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a db0075t minuit et une, ce jour mm0065.

Nous avons fait tous les efforts pour ng006fcier des conventions collectives avec la Ville de Toronto , de dire Ann Dembinski, prs0069dente de la section locale, lors d’une confr0065nce de presse, hier soir. Il et devenu clair que les politiciens en charge de ces ng006fciations ne veulent pas ng006fcier. Ils veulent voir 24 000 travailleuses et travailleurs municipaux faire la grv0065.

Mme Dembinski a dit que les membres de sa section locale se joindraient aux membres de la section locale 416 du SCFP, qui reprs0065nte les cols bleus , sur les piquets de grv0065 parce que leurs enjeux sont nos enjeux .

Ces deux sections locales municipales ont db0072ay 0070arce que la ville demande des concessions sur le plan de la sc0075rit 0064’emploi. La ville dit que nous voulons des emplois 0076ie, de dire Mme Dembinski. Les travailleuses et travailleurs municipaux n’ont pas des emplois 0076ie. Une telle chose n’existe pas. Ce que nous avons c’est une convention qui prv006fit que les employs0020permanents qui comptent dix anne0073 de service ou plus ne peuvent t0072e licencis0020 0063ause de la sous-traitance. Or la ville veut l0069miner ces clauses parce qu’elle veut privatiser les services municipaux et sous-traiter notre travail.

La prs0069dente nationale du SCFP, Judy Darcy, a dit en confr0065nce de presse : tant donn 0071ue la ville sera l’ht00650020de la Journe0020mondiale des jeunes, dans quelques semaines, quel genre de signal envoie-t-elle aux jeunes de Toronto et du monde entier quand cet employeur veut s’assurer que les jeunes n’auront pas droit 006ca sc0075rit 0064’emploi? Le conflit concerne l’avenir de nos jeunes, l’avenir de notre ville et l’avenir des services publics.

Trois mille des 18 000 membres de la section locale 79 du SCFP sont des travailleuses et travailleurs essentiels qui n’ont pas le droit de grv0065 : celles et ceux dans les foyers pour personnes ges et les rp0061rtiteurs d’ambulances. Bon nombre de ces personnes se joindront aux grv0069stes 006c’heure du midi et aprs0020le travail.

Les ng006fciations couvrent quatre conventions collectives : travailleuses et travailleurs permanents et temporaires, travailleuses et travailleurs 0074emps partiel dans dix foyers pour personnes ges, travailleuses et travailleurs 0074emps partiel du service des parcs et des loisirs et une quatrim0065 pour les travailleuses et travailleurs d’autres services municipaux. Parmi les centaines de services qui seront affects0020notons les garderies, les refuges pour les sans-abri, les services d’aide sociaux, d’inspection des bt0069ments, de planification urbaine, de la sant 0070ublique, de l’inspection des aliments et les centres de loisirs.

-30-

Pour tout renseignement supplm0065ntaire, veuillez communiquer avec :

Shannon McManus, Communications SCFP (416) 292-3999, poste 222

Nous avons fait tous les efforts pour ng006fcier des conventions collectives avec la Ville de Toronto , de dire Ann Dembinski, prs0069dente de la section locale, lors d’une confr0065nce de presse, hier soir. Il et devenu clair que les politiciens en charge de ces ng006fciations ne veulent pas ng006fcier. Ils veulent voir 24 000 travailleuses et travailleurs municipaux faire la grv0065.

Mme Dembinski a dit que les membres de sa section locale se joindraient aux membres de la section locale 416 du SCFP, qui reprs0065nte les cols bleus , sur les piquets de grv0065 parce que leurs enjeux sont nos enjeux .

Ces deux sections locales municipales ont db0072ay 0070arce que la ville demande des concessions sur le plan de la sc0075rit 0064’emploi. La ville dit que nous voulons des emplois 0076ie, de dire Mme Dembinski. Les travailleuses et travailleurs municipaux n’ont pas des emplois 0076ie. Une telle chose n’existe pas. Ce que nous avons c’est une convention qui prv006fit que les employs0020permanents qui comptent dix anne0073 de service ou plus ne peuvent t0072e licencis0020 0063ause de la sous-traitance. Or la ville veut l0069miner ces clauses parce qu’elle veut privatiser les services municipaux et sous-traiter notre travail.

La prs0069dente nationale du SCFP, Judy Darcy, a dit en confr0065nce de presse : tant donn 0071ue la ville sera l’ht00650020de la Journe0020mondiale des jeunes, dans quelques semaines, quel genre de signal envoie-t-elle aux jeunes de Toronto et du monde entier quand cet employeur veut s’assurer que les jeunes n’auront pas droit 006ca sc0075rit 0064’emploi? Le conflit concerne l’avenir de nos jeunes, l’avenir de notre ville et l’avenir des services publics.

Trois mille des 18 000 membres de la section locale 79 du SCFP sont des travailleuses et travailleurs essentiels qui n’ont pas le droit de grv0065 : celles et ceux dans les foyers pour personnes ges et les rp0061rtiteurs d’ambulances. Bon nombre de ces personnes se joindront aux grv0069stes 006c’heure du midi et aprs0020le travail.

Les ng006fciations couvrent quatre conventions collectives : travailleuses et travailleurs permanents et temporaires, travailleuses et travailleurs 0074emps partiel dans dix foyers pour personnes ges, travailleuses et travailleurs 0074emps partiel du service des parcs et des loisirs et une quatrim0065 pour les travailleuses et travailleurs d’autres services municipaux. Parmi les centaines de services qui seront affects0020notons les garderies, les refuges pour les sans-abri, les services d’aide sociaux, d’inspection des bt0069ments, de planification urbaine, de la sant 0070ublique, de l’inspection des aliments et les centres de loisirs.

-30-

Pour tout renseignement supplm0065ntaire, veuillez communiquer avec :
Shannon McManus, Communications SCFP
(416) 292-3999, poste 222