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Betty-Jean Sutherland, dont le syndicat reprs0065nte quelque 3 000 travailleuses et travailleurs dans 36 hp00690074aux qui auraient pu t0072e affects0020par le projet de loi 68, affirme que nous avons fait peur au gouvernement et nous avons ru0073si en nous tenant ensemble.

Compte tenu de la dt0065rmination du gouvernement 0061nnuler les droits des travailleuses et travailleurs des soins de sant,0020le SCFP et ses syndicats parents navaient pas le choix que de sengager dans des grv0065s illg0061les, des dm0069ssions massives et dautres moyens de pression qui nous ont mens0020 0063e stade-ci.

Le SFPNE, le SINE et le SCFP ont pris clairement position lors des pourparlers avec le gouvernement, aujourdhui, 006ceffet que le mc0061nisme de rg006cement des diffr0065nds devrait sappliquer 0074ous nos membres, et nous avons tenu bon pour ce qui est de notre position. Le message lanc 0061ux travailleuses et travailleurs de tout le Canada est que la solidarit 0070orte fruit , daffirmer Mme Sutherland.

Au dire de la prs0069dente du SCFP de la Nouvelle-cosse : Nous ne sommes pas heureux davoir perdu notre droit de grv0065 et lors des prochaines l0065ctions provinciales, nous concentrerons nos n0065rgies pour faire l0069re un gouvernement qui respectera les droits des travailleuses et travailleurs.

En tant que le plus important syndicat canadien des soins de sant,0020le SCFP engagera ses ressources considr0061bles sur le plan lg0061l et sur le plan de la recherche pour le processus darbitrage des propositions finales annonc 0070ar le gouvernement aujourdhui mm0065.

Le projet de loi 68, qui a maintenant t mis en veilleuse, a donn 0061u gouvernement le pouvoir d imposer des contrats de travail 0071uelque 9 000 travailleuses et travailleurs hospitaliers de la Nouvelle-cosse.