Le SCFP 4070 est ravi par l’annonce que des tests rapides de COVID seront effectués à l’aéroport de Calgary. Le syndicat y voit une étape importante pour permettre au secteur aérien de traverser la pandémie sans s’écraser.
Chris Rauenbusch est président du SCFP 4070. Il représente plus de 4 000 membres d’équipage de cabine au sein du groupe d’entreprises WestJet.
« L’annonce de tests rapides montre qu’il est possible au gouvernement, à l’entreprise privée et aux syndicats de travailler ensemble, souligne-t-il. Nous sommes heureux de collaborer avec n’importe qui pour changer le plan de vol de l’aviation canadienne. »
« Cette annonce positionne Calgary et WestJet comme les chefs de file du secteur de l’aviation, ajoute M. Rauenbusch. Mais ce n’est qu’une étape. Notre secteur a besoin d’être solide et concurrentiel dans l’ensemble du pays. »
Selon lui, la réouverture des liaisons internationales sans quarantaine complète de quatorze jours permettra de rebâtir les activités nationales. Il fait remarquer que les destinations intérieures sont alimentées par les connexions internationales.
Le SCFP demande aux autres compétences de suivre l’exemple de Calgary.
« Ce problème n’est pas unique à Calgary ou à WestJet, lance-t-il; il est pancanadien. L’avenir de l’aviation canadienne dépend des mesures que nous prendrons. »
« Ottawa doit collaborer avec les autres aéroports canadiens pour accroître le nombre de tests rapides. Le succès de notre secteur en dépend. »