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Halifax  Les négociations sont rompues entre le Progress Centre for Early Intervention de Halifax et le SCFP.

« En séance de conciliation, aujourd’hui, l’employeur nous a avisés qu’en l’absence de fonds supplémentaires du provincial, il propose une convention collective d’un an sans augmentation de salaire, explique la conseillère nationale Naomi Stewart du SCFP. Or, les employés ont le même salaire de départ depuis 15 ans. »

« Les membres de la section locale 5054 tentent de décrocher leur première convention collective depuis maintenant deux ans et demi, poursuit-elle. Et ils font porter le blâme au gouvernement provincial qui sous-finance leur employeur. Il faut absolument régler la question des salaires dans ce secteur d’activités. »

Selon le SCFP, la tendance dans les ententes salariales liées au financement provincial consiste en une augmentation de 7,5 pour cent sur trois ans.

Mme Stewart explique que le centre relevait du ministère des Services communautaires, jusqu’à ce que le ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance, récemment rebaptisé, le prenne en charge.

« Personne ne souhaite un arrêt de travail dans cet établissement, affirme Mme Stewart. Cela aurait de terribles effets sur les familles et les enfants que servent nos membres. »

Le SCFP représente 13 employés du centre, dont des intervenants en intervention précoce, des bibliotechniciens, des adjoints administratifs et des coordonnateurs de garderies. 

En mai dernier, les membres de la section locale 5054 se sont prononcés à l’unanimité en faveur de la grève.

Pour en savoir plus : 

Naomi Stewart    
Conseillère nationale du SCFP
(902) 455-4180 (bureau)   

John McCracken
Conseiller du SCFP en communications
(902) 455-4180 (bureau)