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De plus en plus d’élus et de conseils municipaux osent s’interroger sur les dangers que présente un accord de libre-échange canado-européen pour nos municipalités.

Les maires de 20 municipalités de la côte est ont récemment demandé que l’eau soit exclue de l’Accord économique et commercial global (AÉCG) que négocient actuellement le Canada et l’Union européenne.

Ces maires de l’Atlantique ont également exigé une place à la table de négociation, soulignant du coup le fait qu’on a exclu les municipalités des pourparlers entourant cet accord. Pourtant, l’AÉCG introduira de nouvelles règles qui auront de lourdes conséquences sur le pouvoir local d’acheter, de réglementer et de décider.

À l’autre bout du pays, les conseils municipaux de Grand Forks et de New Westminster, en Colombie-Britannique, ont tous deux adopté une résolution exigeant leur exemption permanente de l’AÉCG.

La résolution de New Westminster porte aussi sur la transparence et demande au gouvernement britanno-colombien de faire connaître publiquement sa position dans ces négociations.