Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

En septembre 2009, cinq universités canadiennes proposaient de modifier l’organisation et le financement de notre système d›éducation postsecondaire au Canada. L’Université de la Colombie-Britannique, l’Université de l’Alberta, l’Université de Toronto, l’Université McGill et l’Université de Montréal, maintenant connues sous le nom de « BIG 5 » (G5), suggéraient de diviser notre actuel système public de façon à ce que les universités soient axées soit sur la recherche, soit sur l’enseignement, et qu’elles se spécialisent soit en études des 2e et 3e cycles, soit en études du 1er cycle. Les fonds fédéraux seraient alloués en fonction des besoins financiers des quelques universités qui se « spécialiseraient » en recherche et en études des 2e et 3e cycles, et de toutes les autres qui se spécialiseraient en enseignement et en études du 1er cycle. Les universités soutiennent que cette proposition favorise une recherche « de classe mondiale », l’innovation et la compétitivité à l›échelle mondiale.

La proposition des G5 est une réponse à la crise qui nous indique que nos établissements universitaires amorcent une bataille entre eux pour de rares ressources et un financement insuffisant.

Avoir ou ne pas avoir