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Le SCFP et ses alliés étaient en cour vendredi dernier pour lutter contre la privatisation des centrales électriques d’EPCOR.

(voir l’article du 12 septembre du Edmonton Journal – en anglais seulement)

Il s’agit de la dernière contestation judiciaire de la vente conclue à huis clos en avril dernier et qui n’avait été annoncée que trois semaines plus tard. À présent, le mystère entourant l’affaire pourrait entraîner son invalidation.

Lors d’une rencontre à huis clos, le conseil municipal de la Ville d’Edmonton, propriétaire du service, a voté en faveur de la création d’une nouvelle entreprise et de la vente d’actions en Bourse.

La coalition s’opposant à cette vente est composée du SCFP 30, de la Fédération du travail d’Alberta et de CSU 52, le syndicat des cols blancs d’Edmonton. Le SCFP lançait des mises en garde au sujet de la menace de privatisation depuis que ce service a donné lieu à la création d’une entreprise.

Bien que les détracteurs aient été incapables d’arrêter l’appel d’offres initial en juin, ils affirment que l’entente est illégale parce qu’elle a été conclue à huis clos.

Le Municipal Government Act de l’Alberta exige que toutes les ententes du Conseil municipal soient conclues en public.

Voir également « Right out from under us », un article de Ricardo Acuña, du Parkland Institute.