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Il faut profiter du 10 décembre, Journée des droits de l’homme de l’ONU, pour réfléchir aux droits des femmes au Canada en 2005 et pour transformer ensuite cette réflexion en action en votant de façon positive aux prochaines élections.

Le programme de privatisation des libéraux a été désastreux pour les femmes. Leur qualité de vie s’est détériorée dans la foulée des compressions imposées aux services publics par le premier ministre Paul Martin. Même l’ONU l’a mentionné dans son rapport du Comité des droits de l’homme de novembre 2005.

Mais les conservateurs de Stephen Harper ne feraient qu’aggraver la situation en réduisant les programmes sociaux encore plus radicalement que ne l’ont fait les libéraux.

Les deux partis diffèrent sur certains points dans le dossier des droits de la personne, notamment sur la question du mariage de couples de même sexe. Mais la passion qu’ils partagent pour la privatisation ne mènera qu’à une usure encore plus grande de notre tissu social et économique. Beaucoup trop d’entre nous n’avons que le « droit » de lutter pour joindre les deux bouts avec des emplois mal payés, de faire sous-traiter notre travail et de choisir entre payer le loyer ou nourrir les enfants.

Le NPD offre un choix positif. Les néo-démocrates appuient les droits des femmes et des autres groupes en recherche d’égalité qui luttent pour obtenir des emplois acceptables, un programme de garderies de qualité public et sans but lucratif et des investissements sociaux qui permettent d’édifier des collectivités plus fortes et une société plus équitable.