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Le comité de négociation des écoles K-12 du SCFP exige que l’Association des employeurs des écoles publiques de Colombie-Britannique (BCPSEA) respecte son mandat ou démissionne sur-le-champ.

Réunis à Vancouver pour planifier une stratégie de négociation 006500740020des moyens d’action à la suite du rejet par les employeurs des négociations de la table provinciale pour 47 sections locales du SCFP 006c00650073 24 membres du comité de négociation scolaire ont exigé à l’unanimité que la BCPSEA négocie ou démissionne.

« L’absurdité et le gaspillage d›énergie qui résultent de la position de l’employeur, pour des raisons clairement politiques, doivent s’arrêter ici, a dit Anita Moore, présidente du comité de négociation. Les services de soutien de l›école sont menacés dans chaque région de la province à cause des contraintes budgétaires. Nous sommes stupéfaits que les administrateurs, qui prétendent avoir à cur les intérêts des élèves et de l›éducation, ne soient pas prêts à travailler main dans la main avec nous pour assurer un financement adéquat des services de soutien.» 

Dans la dernière série de négociations, la BCPSEA a joué un rôle clé en intervenant dans les négociations au niveau local. Pourtant, cette fois-ci, devant l’unité des sections locales du secteur de l›éducation du SCFP, le groupe des employeurs provinciaux a dit qu’il n›était pas prêt à négocier à un niveau provincial.

« Les administrateurs n’ont pas hésité à sauter dans le train au moment des dernières négociations, a dit Gary Johnson, négociateur en chef du personnel de soutien. Maintenant que le SCFP veut harnacher son énergie pour négocier des demandes communes à tous les participants à la table, la majorité des administrateurs, la BCPSEA et leur superviseur balaient la suggestion du revers de la main.»