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BURNABY- Le SCFP tentera de ranimer les pourparlers avec les représentants de l’Église unie, après l’annonce, hier, de la fermeture définitive du Naramata Centre.

« Nous avons 30 employés qui ont passé les huit derniers mois sur le piquet de grève, explique Tom O’Leary, conseiller national du SCFP. Ce litige a toujours porté sur le fait de traiter équitablement des employés fidèles. Nous réclamerons donc un traitement équitable dans le cadre de toute cessation des activités et des pourparlers sur l’avenir de la propriété. »

Le secrétaire-trésorier du SCFP-C.-B., Paul Faoro, a rappelé la relation qu’a entretenu le SCFP avec le centre pendant 40 ans, d’abord comme utilisateur et promoteur des installations, puis, depuis 1994, comme représentant de ses employés : « C’est un jour très triste pour nos membres, pour la collectivité et pour tous ceux et celles qui participaient aux activités de Naramata. Nous espérons pouvoir travailler constructivement avec l’Église unie, propriétaire du Naramata, pour la suite des choses. »

Les 30 syndiqués du Naramata Centre avaient débrayé en mai 2014 parce que le centre comptait remplacer ses employés de longue date par des postes non syndiqués et moins bien payés.

En novembre, le SCFP a demandé à la Commission des relations de travail de reconnaître l’Église unie et le Naramata Centre comme un seul et même employeur afin de contraindre l’église à participer aux négociations et à assumer la responsabilité de cette décision. Cette demande est toujours à l’étude.

Les membres du SCFP poursuivent leur piquetage devant le centre.

Pour en savoir plus, contactez :
Tom O’Leary

Conseiller national du SCFP

 250-862-6131

Roseanne Moran

Conseillère en communications du SCFP

 778-835-7537