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Stephen Harper essaie de persuader les Canadiens qu’il est un bon gestionnaire de l’économie et le meilleur choix comme leader pendant l’époque de turbulence que nous vivons. Rien ne peut être plus éloigné de la vérité.

Peu importe la façon dont il les déguise, les politiques économiques et fiscales de Stephen Harper sont fondées sur une idéologie étroite et sur l’opportunisme politique. En fait, à moins que vous ne soyez un riche cadre de l’industrie du pétrole et du gaz, Stephen Harper n’a pas votre intérêt à cœur.

Stephen Harper a géré de façon incompétente l’économie et les finances fédérales, un peu comme son homologue néoconservateur George W. Bush. Ses politiques irresponsables poussent notre économie vers le précipice et de plus en plus de faits montrent que ce sont les travailleurs canadiens qui en paient le prix.

Tout coûte plus cher

  • Le coût de la vie au Canada a augmenté de plus de 7 % depuis l’arrivée au pouvoir de Stephen Harper, malgré une baisse de 2% de la TPS – une mesure qui coûtera au gouvernement 12 milliards de dollars par année en revenus perdus.
  • Le prix de l’essence a augmenté de 54 %, jusqu’à 48 cents le litre. Un ménage moyen doit débourser 1 350 $ de plus par année pour l’essence.
  • L’huile à chauffage a augmenté de 35 cents le litre—une hausse de 42 %. Les coûts de chauffage ont grimpé d’au moins 400 $ pour un ménage moyen.
  • Le coût de la nourriture a augmenté de plus de 8 %, ce qui ajoute 500 $ par année aux dépenses d’un ménage moyen. Les subventions coûteuses et mal avisées accordées par Stephen Harper à ses amis conservateurs de l’industrie de l’éthanol ont aidé à alimenter ces hausses de prix.

Il devient plus difficile de trouver du travail

  • Stephen Harper a favorisé une économie déséquilibrée, basée sur l’exploitation et l’exportation de pétrole, de gaz et d’autres matières premières.
  • Chaque jour depuis qu’il est au pouvoir, 200 emplois en moyenne ont été perdus dans le secteur manufacturier—l’équivalent de la fermeture d’une usine de fabrication de taille moyenne chaque jour.
  • En juillet, le Canada a subi sa plus importante perte d’emplois depuis la récession de 1991, avec la disparition de 55 000 emplois.
  • Cette semaine, le NPD a dévoilé un plan visant à investir 100 millions de dollars dans la formation. Stephen Harper ne propose aucun plan pour aider les travailleurs mis à pied à se trouver un autre bon emploi.

Nous sommes endettés

  • Le ratio d’endettement par rapport au revenu des ménages a augmenté de 15 % depuis que Stephen Harper est au pouvoir.
  • Les économistes s’attendent à une croissance économique de 1,1 % seulement au Canada cette année, le taux de croissance économique national le plus lent depuis 15 ans—depuis la récession de 1992 (1991?).
  • Pour la première fois de l’histoire moderne, la productivité économique a diminué, et cela s’est passé pendant que Stephen Harper était au pouvoir. Cela montre l’inefficacité de ses politiques néoconservatrices de baisses d’impôt et de privatisation.
  • Le gouvernement fédéral affichait un surplus de 13,2 milliards de dollars l’année où Stephen Harper a pris le pouvoir. Mais les conservateurs ont gaspillé cet excédent en accordant de coûteuses baisses d’impôts. Même après avoir vendu pour des milliards de dollars d’actifs publics, le surplus devrait diminuer à 1,3 milliard de dollars en 2009-2010. Ce sera le pire bilan financier du gouvernement fédéral depuis plus d’une décennie.

Les riches s’enrichissent

  • Nous vivons dans une société de plus en plus inégale. Une personne sur dix vit dans la pauvreté, pendant que les dirigeants des grandes entreprises du Canada gagnent plus en 10 heures que la plupart d’entre nous en un an.
  • La réduction de l’écart salarial entre hommes et femmes s’est arrêtée et, dans certains cas, la tendance s’est inversée depuis quelques années.

Même s’il se vante d’être frugal, Stephen Harper est en fait assez prodigue. Pendant le présent exercice seulement, les dépenses fédérales ont augmenté au rythme de 8,4 %. Où est allé tout cet argent? Aux baisses d’impôts pour les sociétés, aux gains en capital et aux salaires croissants des dirigeants d’entreprises. Il est temps d’imposer les mêmes règles à tout le monde. Nous ne pouvons pas nous permettre encore deux années et demie de « gestion » économique à la Stephen Harper.