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Tous les membres du SCFP méritent le respect, que ce soit au syndicat, au travail ou dans la société. Au SCFP, nous apprécions la diversité. Chaque membre doit se sentir libre de toute discrimination, peu importe ses origines ethniques, sa religion, son sexe, ses capacités, son orientation sexuelle ou son identité sexuelle.

La discrimination ou le harcèlement fondés sur l’orientation sexuelle ou sur l’identité sexuelle s’appelle homophobie ou transphobie. Les statistiques montrent qu’environ 10 pour cent des Canadiens sont lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, transsexuels ou intersexe (LGBTTI). Cela signifie que plus de 50 000 membres du SCFP appartiennent à la communauté LGBTTI.

Au Canada, il n’y a pas si longtemps, l’homophobie était non seulement permise, elle était encouragée. On se servait du Code criminel du Canada pour interdire et punir les relations entre personnes du même sexe. Cette époque est maintenant révolue! 

Bien que de grands progrès aient été réalisés dans l’élimination de la discrimination et du harcèlement, cela ne signifie pas que l’homophobie et la transphobie soient éradiquées pour autant.

Les sections locales du SCFP sont invitées à souligner le 17 mai – Journée internationale contre l’homophobie. Joignez-vous aux activités organisées par la communauté LGBTTI de votre quartier. Par exemple, participez au défilé à Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick (www.pridecanada.com). Prenez le petit déjeuner à Vancouver (pour en savoir plus, faites le 604-684-5307).

Nous n’avons pas assez d’une journée pour lutter contre l’homophobie et la transphobie. En tout temps, nos conventions collectives, nos règlements, nos politiques et nos procédures doivent éliminer la discrimination et favoriser la fierté à l’égard de nos membres LGBTTI. Nous devons nous éduquer et éduquer nos membres et devenir plus sensibles aux préoccupations de nos collègues LGBTTI. Nous devons faire en sorte qu’elles et ils se sentent en sécurité au travail et ailleurs. dw/sepb 491