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Les employées et employés municipaux des travaux publics et de toutes les installations de loisirs de Port Coquitlam ont débrayé le 30 mars pour appuyer leurs collègues licenciés et protester contre le refus de l’employeur de respecter les dispositions en matière de supplantation dans la convention collective.

Selon Mark Hancock, président de la section locale 498 du SCFP, au moins deux employés licenciés avec beaucoup d’ancienneté ont vu leur choix pour un nouveau poste refusé, malgré des clauses favorisant leur demande dans la convention collective.

Après avoir averti le conseil municipal par écrit des mesures juridiques imminentes, les membres de la section locale ont quitté le travail mardi.

Selon Hancock, « comme d’habitude, cet administrateur privilégie le conflit plutôt que l’administration. C’est un exemple flagrant de ce à quoi le syndicat se bute régulièrement. Il est ridicule de même tenter de suggérer que cette administration pratique des relations de travail.»