Message d'avertissement

Attention : cette page est tirée de nos archives. Il se pourrait que notre site Internet contienne des informations plus récentes sur ce sujet. Pour le savoir, utilisez notre moteur de recherche.

 La section locale 1393 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP 1393) souhaite apporter des éclaircissements sur les déclarations faites par l’administration de l’Université de Windsor à propos de la rupture des négociations entre les deux parties.

Plus tôt aujourd’hui, l’administration a fait circuler publiquement un bulletin à l’intention des étudiants où on peut lire que « les négociations entre l’UWindsor et le SCFP 1393 sont rompues. L’université demeure prête à revenir à la table à tout moment. »

Voici la chronologie des dernières 24 heures, question de remettre les pendules à l’heure.

Le 27 septembre en soirée, l’université a soumis sa nouvelle offre à la section locale 1393. Vers minuit, la section locale a remis sa réponse à l’université, par le biais du médiateur provincial. Les parties se sont entendues pour ajourner les travaux et reprendre la discussion le lendemain à 10 heures.

Ce matin, peu après 8 h 30, le médiateur a informé la section locale 1393 que l’employeur ne reviendrait pas à la table des négociations, jugeant que cela ne servait à rien si le syndicat n’était pas prêt à accepter sa dernière offre.

« Si l’université souhaite s’en tenir à la politique de la terre brûlée qui met en péril l’année universitaire de milliers d’étudiants et la sécurité du campus et de la population, affirme Dean Roy, président du SCFP 1393, elle pourrait au moins être honnête quant aux événements qui nous ont menés jusqu’ici. »

« Simplement, résume-t-il, les négociations sont rompues parce que l’administration les a rompues. Et l’administration ne serait pas prête à revenir à la table si elle ne l’avait pas quittée. »

La section locale 1393 demeure prête à négocier à tout moment, sans condition préalable, comme c’est le cas depuis le début de la grève, le 8 septembre dernier.

« Malheureusement, ajoute M. Roy, nous devons mettre nos membres au courant de ce qui s’est passé ces dernières 24 heures. Nous ne serons donc pas en mesure de rencontrer l’employeur dimanche, mais nous serons prêts à le faire dès lundi matin. »

Pour en savoir plus, contactez :

Dean Roy
Président du SCFP 1393
 226-347-1063

Kevin Wilson
Service des communications du SCFP
 416-821-6641