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Les besoins de milliers de Torontois vivant avec une déficience intellectuelle sont relégués au second rang, alors qu’on cherche à priver les gens qui les aident à vivre de manière autonome de la sécurité d’emploi la plus fondamentale. C’est ce qu’a déclaré le syndicat qui représente les employés de Community Living Toronto (CLT), au moment où les négociations reprenaient aujourd’hui.

Les négociations entre CLT et la section locale 2191 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), qui représente environ 1000 employés, pour le renouvellement de la convention collective durent depuis plusieurs mois. Les pourparlers ont repris ce matin en présence d’un conciliateur désigné par le gouvernement provincial.

« CLT doit absolument se présenter à la table et négocier un contrat juste avec sérieux, a déclaré le conseiller national du SCFP Scott Blackhall. Notre employeur doit savoir que notre équipe de négociation n’a pas pu prendre au sérieux ce qu’il a proposé jusqu’à présent, parce que cela priverait les syndiqués du peu de protections qu’ils ont actuellement. »

Les négociations se poursuivront aujourd’hui et vendredi.

Selon M. Blackhall, une entente est à portée de main, même s’il reste beaucoup à faire : « Notre équipe est prête à négocier aussi longtemps qu’il faudra pour conclure une convention collective qui sera juste pour toutes les parties et qui protégera les services essentiels sur lesquels comptent des milliers de Torontois. Or, notre vis-à-vis à la table doit être prêt à faire de même. »

Pour en savoir plus, contactez : 

Scott Blackhall, conseiller national du SCFP, 416-994-6705

Kevin Wilson, service des communications du SCFP, 416-821-6641